Voyages

[BUCAREST] Basilique blanche, aubergine baladi et bière fourbe

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Nous ne sommes pas fâchés de descendre enfin près de la Bisarica Alba, ou basilique blanche. Chouchou souhaitait voir l’intérieur d’une église orthodoxe, mais la plupart d’entre elles ne se visitent pas, et plus rares encore sont celles où les photos sont autorisées. A vrai dire, je n’ai trouvé que celle-là! Je suis impressionnée par la quantité de dorures, et un peu intriguée par le grand espace vide au milieu. Je vois bien des chaises pliantes entassées sur les côtés, mais devoir les installer pour chaque service religieux me paraît assez peu pratique. Encore un mystère qui restera non élucidé.

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[BUCAREST] Sean Connery et la dame qui a souvent besoin de faire pipi explorent les Carpates

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Il y a, notamment, diverses salles d’apparat destinées à recevoir chacune le souverain d’un pays donné, meublées et décorées uniquement dans des matériaux originaires du pays en question. Dans l’armurerie, je tombe en extase devant la collection d’armes blanches pourtant largement pillée par les Communistes selon Stefan. Si je me baladais avec une de ces magnifiques hallebardes, ou même juste cette arbalète compacte, je doute qu’on m’embêterait beaucoup dans la rue!

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[BUCAREST] Cimetière orthodoxe et crise existentielle

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Elle nous dépose devant l’entrée du cimetière Bellu, divisé en deux moitiés distinctes: l’une catholique et l’autre orthodoxe. C’est la seconde que nous partons explorer en quête de photos à faire. Tout est blanc et le soleil brille dans un ciel sans nuages: pas vraiment l’atmosphère de nos shootings au Père Lachaise! Mais j’aime toujours me balader dans les cimetières, un peu pour leur calme empreint de gravité sereine, un peu pour le rappel que la vie est brève et qu’on a intérêt à en profiter pendant qu’on peut.

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[MAASTRICHT] Jean Gabin chez les Bons Enfants

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Après une bonne nuit de sommeil, nous petit-déjeunons dans notre studio et, comme nous n’avons qu’une seule chose à faire aujourd’hui, traînons jusqu’à l’heure du checkout. Puis nous rendons la clé et nous dirigeons d’un pas vif vers le musée Bonnefanten, reconnaissable de loin avec sa silhouette de suppositoire géant. Il fait beau mais encore plus froid qu’hier, ce qui n’incite pas à la flânerie.

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[MAASTRICHT] Le retour de la vengeance de la taille et des nichons

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D’après les archives du blog, notre précédent séjour à Maastricht remontait à… décembre 2018. Il y a une éternité – ou au moins une pandémie. J’ai pourtant eu du mal à me motiver pour y retourner: à 1h50 le trajet en train avec deux changements, je trouvais ça un peu lourd à faire en une journée. Je suis vieille, fatiguée, et grâce à la SNCF, je n’en peux plus du stress des correspondances foireuses. Bref, le projet était sur le feu depuis l’été dernier quand j’ai fini par craquer: vendredi, je nous ai trouvé un hôtel pour la nuit de samedi à dimanche, histoire de pouvoir partir plus tard et prendre notre temps sur place.

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[SINTRA] Quand l’esprit de Fangio veut nous retenir au Portugal pour toujours

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Le contraste avec les deux palais visités précédemment est énorme. Ici, pas de file d’attente et pratiquement personne dans les allées. Ce qui nous arrange fortement. Un parcours balisé est prévu, et même accompagné d’un jeu de piste auquel nous nous prêtons volontiers. Nous déambulons le long des chemins pavés, toujours en pente mais agréablement ombragés, sans autre bruit que le gazouillis des cascades et le pépiement des oiseaux.

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[SINTRA] Monter, toujours monter

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Le parcours à l’intérieur est hyper balisé. Avantage: nous sommes certains de ne rien rater. Inconvénient, nous sommes pris dans un flot de touristes qui piétinent souvent sur place. Ce qui ne nous empêche pas d’apprécier et de prendre de belles photos. Le Palacio da Pena était à l’origine un monastère qui fut converti en palais d’été pour les souverains portugais. Lorsque la république fut proclamée, en 1910, il devint propriété de l’Etat.

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[SINTRA] Au fond du Puits Initiatique

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Mon coeur se serre à la vue de la queue démentielle qui entoure l’entrée du Puits Initiatique, sûrement le plus beau fleuron des jardins de la Regaleira. Mais nous sommes venus exprès, et il n’est pas question de renoncer si près du but. Par chance, ça avance plus vite que je ne m’y attendais; au bout d’à peine (!) 20 minute, nous pénétrons sous la voûte de pierre qui oblige tous les plus d’1m60 à baisser la tête. Le froid nous enveloppe immédiatement tandis que nous entamons notre descente parmi une horde d’autres Instagrameurs tous occupés à se prendre en photo – ce qui ralentit la progression mais nous ôte tout scrupule vu que nous ne bloquons pas plus que n’importe qui d’autre!

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[LISBONNE-SINTRA] Sur la piste du cabillaud perdu

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Aujourd’hui, pas de Moldus stationnés près de la borne anti-incendie repérée hier: nous loguons la géocache correspondante, ainsi qu’une autre située cent mètres plus loin devant le terminal maritime. En face, le Centro Interpretativo da Historia do Bacalhau (en gros, le Musée de la Morue) me fait de l’oeil depuis hier. Comme nous avons un peu de temps devant nous, j’y entraîne Chouchou.

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