Voyages

[ECOSSE] Où on dit au revoir en beauté

Pour me consoler, j’entraîne Chouchou vers le bâtiment d’en face au sous-sol duquel se trouve la boutique, dans l’espoir qu’elle vendra quelque reproduction. Et là, nous tombons sur une expo temporaire d’oeuvres contemporaines intitulée « Observed from life ». Tout à fait mon truc, pour une fois! Nous passons un très agréable moment à déambuler dans les salles quasiment désertes.

[ECOSSE] Où on dit au revoir en beauté Lire la suite »

[ECOSSE] Où je tombe sous le charme du refuge de pierre

Une fois ce long shooting terminé, nous rebroussons chemin à pied, en suivant la fameuse route des falaises. Il fait toujours humide mais il ne pleut pas, et ça nous évite d’avoir chaud en marchant. Nous croisons peu de promeneurs mais beaucoup de vaches, hélas pas de cette race des Highlands chevelue que j’adore. La promenade est très plaisante. Au bout d’une demi-heure, nous entamons une longue descente assez abrupte vers le port de Stonehaven, et je me réjouis très fort d’avoir fait cette petite randonnée au retour plutôt qu’à l’aller!

[ECOSSE] Où je tombe sous le charme du refuge de pierre Lire la suite »

[ECOSSE] Où je me perds dans un calme blanc

Je signale deux coups de coeur: une mosaïque de centaines de teintes de céramique, obtenues à partir d’un nombre très réduit de pigments, et le tableau « White Calm – Ailsa Craig from Port An Righ » de William McTaggart, un des principaux paysagistes écossais. Je suis absolument fascinée par cette toile; je crois que je pourrais m’y perdre pendant des heures. Sur-le-champ, la nouvelle mission de ma vie devient d’en trouver une reproduction décente à accrocher chez moi. Et d’explorer toute l’oeuvre de l’artiste. Quant à Chouchou, bien que beaucoup de choses lui plaisent, il apprécie particulièrement le tableau « Flood in the Highlands » d’Edwin Landseer.

[ECOSSE] Où je me perds dans un calme blanc Lire la suite »

[ECOSSE] Où Aberdeen ne veut pas de mes sous

En débouchant enfin sur la plage, je pousse des couinements de joie à la vue d’une grande roue. Puis je déchante rapidement, car les nacelles ne bougent pas du tout. Je me dis qu’elle n’ouvre peut-être qu’en début d’après-midi, mais une recherche Google nous confirme qu’elle devrait tourner depuis 10h du matin. C’est un jour férié et la moitié de la ville se presse sur le bord de mer. La religion des propriétaires leur interdit de gagner de l’argent, je ne vois pas d’autre explication.

[ECOSSE] Où Aberdeen ne veut pas de mes sous Lire la suite »

[ECOSSE] Où le vent nous poursuit mais les phoques nous fuient

La prochaine étape est celle du point de vue suggéré par le serveur de The Captain’s Table hier: les Bullers of Buchan, des falaises spectaculaires où nichent toutes sortes d’oiseaux. Nous commençons par avaler nos sandwichs et nos tomates-cerises trempées dans du guacamole, bien au chaud dans la voiture garée sur le parking du site. Puis nous nous lançons sur le chemin à l’entrée duquel une pancarte nous met en garde: il est étroit, et à éviter les jours de grand vent. Comme souvent en Ecosse, pas d’interdiction, juste une invitation à faire usage de notre bon sens.

[ECOSSE] Où le vent nous poursuit mais les phoques nous fuient Lire la suite »

[ECOSSE] Où je prends une bonne et une mauvaise initiatives

Après ça, nous explorons le musée proprement dit, qui reprend l’histoire du développement des phares en Ecosse et expose diverses lentilles dont l’une évoque la tête de C3PO. Au dernier étage, nous nous posons dans le tea room doté d’une vue sublime pour y prendre un délicieux goûter. Un de ces moments suspendus où tout mon stress s’envole comme par magie.

[ECOSSE] Où je prends une bonne et une mauvaise initiatives Lire la suite »

[ECOSSE] Où je crapahute beaucoup et me change souvent

Troisième destination de la journée: le village côtier de Portsoy. Nous y passerons la nuit au Station Hotel, un hôtel familial à la déco un peu désuète et aux couloirs aussi étroits que tarabiscotés. Le temps de poser nos bagages dans la chambre et nous repartons explorer les environs. Sur le petit port, nous sommes surpris de trouver une sorte d’autel fleuri dédié à la mémoire d’un certain Michael Gray. Nous mettons quelques instants à réaliser qu’il s’agit d’un personnage de la série « Peaky Blinders » (que nous n’avons pas regardée), et que la scène de sa mort a justement été tournée ici.

[ECOSSE] Où je crapahute beaucoup et me change souvent Lire la suite »

[ECOSSE] Où je sombre dans la délinquance florale et mouettesque

Après avoir avalé deux paninis quelconques et une soupe indéfinissable au Waterfall Café, nous guettons le 302 qui arrive suffisamment en retard pour que mon niveau de stress soit encore monté d’un cran entre-temps. Nous en descendons à mi-chemin d’Inverness, au niveau de la plage de Dores Beach qui borde le Loch Ness. Quelques personnes bronzent sur les cailloux; deux ou trois courageux se baignent même dans l’eau glacée.

[ECOSSE] Où je sombre dans la délinquance florale et mouettesque Lire la suite »

[ECOSSE] Où on écoute chanter la peinture à carreaux

Après le temps d’installation et de repos règlementaire, nous ressortons explorer le centre d’Inverness. Première étape obligatoire: Leakey’s Bookshop, la deuxième plus grande bouquinerie d’Ecosse derrière le Bookshop de Shaun Bythell à Wigtown. Je dois avouer que malgré mon amour des livres, les bouquineries me mettent aussi mal à l’aise que les friperies avec leur odeur de vieux et tous ces objets qui ont déjà eu une vie inconnue avant d’atterrir là. En plus, je déteste fouiller sans savoir ce que je vais trouver ou non. Nous nous contentons donc de prendre quelques photos avant de repartir.

[ECOSSE] Où on écoute chanter la peinture à carreaux Lire la suite »

Retour en haut