10 things I love Wednesday #87
1. Potter’s Place. En Ardenne, dans la ville de Spa, une maison à 3 chambres doubles décorée façon Poudlard. Les tarifs ne sont même pas honteux; par contre, il faut rester au moins deux nuits.
1. Potter’s Place. En Ardenne, dans la ville de Spa, une maison à 3 chambres doubles décorée façon Poudlard. Les tarifs ne sont même pas honteux; par contre, il faut rester au moins deux nuits.
Nous allons prendre l’air au jardin botanique de Meise (dont l’entrée est gratuite avec nos Museum Pass). Beaucoup de travaux ont été réalisés depuis notre passage précédent il y a un an et demi; la jolie ruine où nous avions pris des photos n’existe plus, mais les serres sont de nouveau accessibles, et les pelouses grouillent de pâquerettes et de boutons d’or. Un peu sonnés par la chaleur, nous finissons notre promenade par une limonade fraise-gingembre à la terrasse de l’Orangerie.
MOI, au réveil: Nous voulons des croissants.
CHOUCHOU: Je vais aller en chercher. Autre chose avec ça?
Etre une femme en 2022, c’est voir encore et toujours remis en cause le droit basique à disposer librement de son corps. C’est, dans certains pays même les plus riches et les plus soi-disant « avancés », se voir imposer de mener à terme une grossesse non-désirée. Y compris quand elle est le produit d’un viol ou qu’elle met la vie de la mère en danger.
1. « Heartstopper ». Cette série adaptée du roman graphique d’Alice Oseman raconte l’histoire d’amour qui se noue au lycée entre un nerd gay et un rugbyman a priori hétéro. C’est mignon comme tout bien qu’assez réaliste, exempt de drama à deux balles et au taquet sur la représentation des minorités. A mettre entre les mains de tous les ados, qu’ils se posent des questions sur leur sexualité ou pas. 8 épisodes de 30mn chacun, sur Netflix.
Début de l’offensive anti-fourmis. Armée de mon pistolet-pulvérisateur, j’arrose de poison tous les abords de ma résidence. Mourez, minuscules saloperies, mourez!
1. Les sept vies de Léa. Il y a quelques années, j’avais lu et bien aimé un roman jeunesse appelé « Les sept vies de Léo Belami ». Pour cette adaptation à l’écran, les scénaristes ont conservé le principe: une mort mystérieuse survenue il y a 30 ans, et un.e ado d’aujourd’hui qui chaque matin se réveille dans le corps d’un.e des protagonistes du drame. Sauf que le héros est devenu une héroïne et que l’histoire elle-même n’a rien à voir – pour une fois, elle est beaucoup, beaucoup plus intéressante que celle du livre.
J’ai failli oublier d’écrire ce billet. C’est dire que mon mois d’avril n’a pas été passionnant. Mais pas problématique non plus, et c’est déjà ça.
Je lis un manga au Chantilly en buvant un thé glacé et en mangeant une crêpe sucre-citron; je vais voir l’expo « Portugal » à la Maison de la Photographie; je repère une très belle fresque fleurie devant laquelle faire des photos; j’entame le tome 1 de « Blackwater » qui connaît un succès foudroyant (et auquel je n’accroche pourtant pas du tout) chez Dégus’thé. OK, ma tension est enfin retombée en-dessous de 25.