10 things I love whenever #197

1. La céramiste Katrin Seibold, alias Tatin. J’ai récemment craqué pour une de ses superbes tasses petit-déjeuner, en vente à Paris chez Klin d’Oeil, ou par correspondance sur son site.

2. Les jolis coffrets de thé Basilur, en métal illustré pour ressembler à des romans de fantasy. Pour être honnête, je ne suis pas du tout fan de thé de Ceylan. Mais j’ai réussi à en trouver un vert aux fruits tout à fait acceptable (le volume III), et le but, c’était surtout de garder et recycler la boîte. Le Delhaize Flagey vend les 4 pendant les fêtes, à 15€ au lieu de 16,50 sur le site de la marque.

3. « L’armoire de vies » d’Anne Brochet. « Face a la glace centrale, en ramenant vers moi les deux miroirs latéraux, je de couvre mes profils simultanément. Je les observe souvent, surtout le mercredi apre s-midi quand je m’ennuie. Je constate que j’ai un co te doux, et l’autre plus sévère, et c’est aussi les impressions que je renvoie aux autres : gentille aussi bien que revêche. » Anne Brochet raconte l’histoire des armoires de toilette qui ont jalonné sa vie. Elle décompose le lieu et les gestes, tente de se souvenir de son visage à chaque étape du miroir. C’est le récit d’une vie banale et unique, avec ses tiroirs secrets, ses perspectives infinies, ses angles morts, ses jeux de dédoublements, ses intérieurs de portes et tout le foutraque des émotions que l’on ne sait pas où ranger. Un récit intime, original et émouvant.

4. « Le pique-nique maléfique de Varice et Mordicus » d’Agnès Ernoult. Varice en a ras la fiole ! Bien trop joyeux, ses voisins et leurs compagnons à quatre pattes l’agacent au plus haut point. Elle rêve de les transformer en saucisses grâce à sa recette de sandwichs diabolique. Alors qu’elle met son plan à exécution, elle fait la rencontre de Mordicus, drôle de monstre des bois… J’adore les histoires de sorcières. Celle-ci est très amusante, avec des dessins géniaux.

5. « La forêt en toi » de Gaya Wisniewski. Un jour d’hiver, à la frontière entre le chemin et le sous-bois, Inga défia sa sœur Ivy en pointant la forêt : Pas cap d’entrer dedans. » Plus rien ne serait comme avant. C’est censé être un album pour enfants, mais l’histoire étrange et mélancolique, ainsi que les dessins au crayon sophistiqués, m’ont poussée à m’attarder très longuement sur chaque page.

6. « Helen de Wyndhorn » de Tom King et Bilquis Evely, traduit en français par Marie Rénier. Après la mort tragique de son père C.K. Cole, un célèbre écrivain de pulps, Helen doit aller vivre dans l’immense propriété de son grand-père, Wyndhorn House. Marquée par cette disparition, la jeune femme perdue et rebelle est projetée dans un monde nouveau. Elle ne le sait pas encore, mais bientôt son existence tout entière va être bouleversée… Un soir, près du bois, elle est attaquée avec sa gouvernante par une créature maléfique qui semble tout droit sortie d’un roman de fantasy ! Brandissant une hache, son grand-père arrive juste à temps pour les sauver. Mais cet accident n’a rien d’anodin. Helen va se rendre compte qu’à l’extérieur des murs vivent des créatures légendaires, semblables à celles qui peuplaient autrefois les récits de son père. Comment est-ce possible? Commence alors un fabuleux voyage initiatique en compagnie de son grand-père, qui va lui révéler un univers différent de ce qu’elle a connu jusqu’ici. Une épopée de fantasy à la conclusion douce-amère, servie par un graphisme absolument épique. Cette histoire complète en un bon gros tome, qui a reçu le prestigieux prix Eisner, fera un excellent cadeau de Noël.

7. Les LOZ mini-blocks. Si comme nous, vous adorez les bâtiments en LEGO mais que vous n’avez pas vraiment la place de les stocker une fois finis, vous trouverez chez cette marque des tas de constructions archi-mignonnes à une échelle beaucoup plus réduite. Par contre, ma motricité fine de merde a rapidement abandonné le montage de ce stand de takoyaki à Chouchou. Je linke le site de la marque avec ses prix en dollars, mais on peut les trouver en Europe pour bien moins cher (notamment quelques modèles chez Satan).

8. Swinley le sanglier (mon signe du zodiaque chinois) aurait pu rejoindre ma collection de petites peluches, mais j’essaie de n’en acheter que pour commémorer mes voyages ou une occasion joyeuse. Or je l’ai vu chez Merci, à Paris, où j’ai passé une horrible soirée à l’inauguration du SLJP de Montreuil. Pas vraiment le genre de truc dont j’ai envie de me rappeler.

9. Heccaty Hootnightly. Quelques jours plus tard, chez Hopono à Bruxelles, je tombais sur cette adorable chouette coiffée d’un chapeau de sorcière. Et je n’avais toujours aucun prétexte pour repartir avec elle.

10. Ce gilet en tricot beige, commandé en urgence sur Zalando après que le précédent est monté au paradis de la grosse maille, me donne toute satisfaction. Il est très chaud et agréable à porter, quoi qu’un peu grand pour moi (j’ai pris le M/L). Je suis presque tentée d’en acheter un deuxième en gris foncé.

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