Autisme

What I did in September 2025

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Comme chaque année à la même époque, je me suis réjouie de laisser l’été derrière moi. J’ai jubilé en ressortant mes chaussures fermées et mes robes à manches longues. J’ai dévalisé les rayons déco d’Halloween de Primark et de Flying Tiger et allumé ma première bougie pumpkin spice. J’ai passé du temps à socialiser avec les amis d’Olive qui fêtait ses 60 ans, les autres participantes d’un atelier de linogravure, notre voisine du dessus, et un soigneur animalier chez qui nous avons fait des photos de rapaces.

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La gueule de bois émotionnelle

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Certaines de mes interactions sociales ont un coût énergétique peu élevé. Si je déjeune avec ma Ministre de Tout et ma Générale des Embrouilles, ou que je passe deux jours à écumer les musées et les magasins avec Isa – bref, si j’échange avec des gens qui me connaissent bien et qui acceptent grosso modo ma manière de fonctionner -, je n’ai pas besoin de temps pour m’en remettre. Je vais rester seule dans mon coin pendant les trois jours suivants, mais je pourrai vaquer à mes autres activités normalement.

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10 things I love Wednesday #185

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1. « La vie portera ses fruits » (en anglais: « When life gives you tangerines »). Il y a un peu à boire et à manger dans ce K-drama: de la romance, du drame, de la comédie, de l’histoire de la Corée, de la critique sociale… Les personnages hurlent la moitié du temps, ce que je trouve difficile à supporter. Mais le scénario tient agréablement en haleine, et la série bénéficie d’un des plus jolis génériques que j’ai jamais vus.

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54

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Comme beaucoup de femmes sûrement, j’envisageais le passage à la cinquantaine avec un effroi mal contenu. Périménopause, invisibilisation sociale, début de la grande descente vers la fin… On ne peut pas dire que cet âge ait bonne presse.

Pourtant, je ne me suis jamais sentie aussi bien que depuis quatre ans.

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Une semaine à deux enterrements

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Mercredi matin. J’accompagne Chouchou aux obsèques d’un monsieur que je ne connaissais pas.

L’église de campagne est une modeste bâtisse de brique peinte en blanc, sans clocher mais avec des verrières qui laissent entrer la lumière hivernale. Les chaises y sont disposés en U et en gradins. Nombreuses, et pourtant, pas une seule ne demeure vide lorsque commence la cérémonie. C’est complet comme un stade de la NFL un soir de concert de Taylor Swift.

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I’m not nice but I’m a good person

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Hier midi, alors qu’on se goinfrait en choeur de Pavlova à la fraise, ma Ministre de Tout m’a raconté une bévue sociale récemment commise par son compagnon. J’en suis restée perplexe tel un Colvert face à une brosse à dent électrique: « J’aurais dit exactement la même chose. Je ne vois pas où est le problème ».

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Objectif: retrouver une vie sociale

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Je n’ai jamais eu beaucoup d’amis. Dotée d’un caractère un peu, euh, particulier, j’ai toujours eu du mal à trouver des gens avec qui j’accroche et réciproquement. Cette difficulté n’a fait que s’accentuer avec l’âge, et le combo pandémie-diagnostic d’autisme a porté le coup de grâce à ma vie sociale. D’abord par nécessité sanitaire, puis par conviction que ça n’était pas mon truc et enfin par pure flemme, j’ai cessé de faire le moindre effort pour voir qui que ce soit.

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Trois gorgées d’amertume

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Longtemps, j’ai pensé que les médicaments, c’était pour les faibles. Il fallait que j’agonise pour consentir à prendre ne serait-ce qu’un Doliprane. Oui, c’était une croyance idiote, basée en partie sur l’attitude de mon propre père vis-à-vis de tous les soins médicaux, en partie sur mon besoin de croire que ma volonté pouvait venir à bout de tout (spoiler: non), et surtout sur le fait que j’étais en assez bonne santé pour ne pas avoir un besoin vital de médicaments.

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