
Nous commençons notre dernière journée au Japon par un tour en monorail jusqu’à l’île artificielle d’Odaiba. Photos avec le Gundam géant, puis musée du caca. Je m’attendais à un truc ludique mais éducatif, comme le musée des toilettes. En réalité, le caca est ici figuré par des choux en plastique aux couleurs pastels. Pas l’ombre d’une explication sur la digestion – juste des sets à selfies de plus ou moins bon goût et une tonne de jeux vidéos squattés par des enfants surexcités. C’est si abominablement bruyant que je ne tiens pas 20 minutes avant de me ruer vers la sortie. Un flop total.









Au 5ème étage du même centre commercial, le Diver City, Chouchou fait quelques emplettes à la boutique Godzilla. Puis nous déjeunons de menus-plateaux dans un restaurant du 6ème.




Nous reprenons brièvement le monorail pour nous rendre dans le quartier du TeamLab Planets. Nous avons des billets pour 17h30, et je me dis qu’on pourra se balader en attendant. Sauf que l’endroit est complètement bétonné et très moche. Nous trouvons quand même un café décent, le Na Café, pour nous poser avec des boissons fraîches et des gâteaux pas mauvais du tout.


TeamLab Planets: comme toujours dans ce genre d’exposition, mes impressions sont mitigées. Nous marchons pieds nus et pataugeons dans l’eau jusqu’aux genoux. La pièce des fleurs empeste la rose, et l’animation vidéo me donne le vertige. Je me ridiculise dans la partie sportive avec ma jupe longue et mes cheveux lâchés qui entravent mes mouvements. Mais Chouchou en tire quelques chouettes photos, essentiellement dans des salles au principe vu et revu cent fois, tels les rideaux de petites lumières ou les ballons géants. Je ne referai pas d’autre événement de la même franchise (ils sont très nombreux en Asie; il y en a plusieurs rien que dans Tokyo).













A la sortie, nous mangeons des ramen végétariens au yuzu achetés à un food truck avant de rentrer à l’hôtel. Ce n’était pas la journée la plus inspirée de notre séjour, et je suis triste de quitter déjà le Japon demain. Je me jure que cette fois, je ne laisserai pas passer 15 ans avant d’y revenir.

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