Mars 2023 Lire la suite »

What I did in March 2023 Lire la suite »

J’ai passé les trois premières semaines de mars à Monpatelin, où je n’ai pas fait grand-chose d’autre que bosser simultanément sur deux romans jeunesse rendus en fin de mois. Une visite de mon beau-frère à sa mère m’a donné l’occasion de retourner à Toulouse avec lui pour quelques jours.

La semaine en bref #270 Lire la suite »

Après une séance de portrait rapide mais très satisfaisante, nous bravons la météo de merde pour nous rendre dans le centre. Un peu de shopping bouquins chez Tropismes, la rétrospective Peter Lindbergh à l’Espace Vanderborght, un cocktail au bar du Dominican, un burger crapuleux au Manhattn’s et, grâce au passage à l’heure d’été, retour à la maison alors qu’il fait encore jour. Une journée d’anniversaire tranquille mais satisfaisante.

52, ou: un manifeste anti-jeunisme Lire la suite »

Et puis, il y a ce foutu jeunisme qui de toutes les injonctions faites aux femmes est sans doute la moins contestée alors que c’est aussi la plus cruelle, la plus imbécile et la plus vaine. La jeunesse n’est pas une vertu morale, ni la vieillesse un défaut de caractère. Toutes deux sont de simples états biologiques transitoires et appelés – pour les plus chanceux – à se succéder.

La semaine en bref #269 Lire la suite »

Brève descente sur Toulouse. Je vais à la gare me faire rembourser mon billet de train pendant que David dépose ma soeur chez le coiffeur; puis nous nous rejoignons sur la place St-George pour passer chez Nespresso et aller chercher un gâteau chez Perlette. Nous en profitons pour petit-déjeuner ensemble devant un mur de fleurs artificielles visiblement conçu pour Instagram.

La semaine en bref #268 Lire la suite »

L’escadron habituel du RN est de retour sur le marché de Monpatelin. Quand un aimable retraité tente de me refiler un de leurs tracts, je suis trop prise au dépourvu pour lâcher autre chose que le « Aaah non, merci » le plus glacial de mon répertoire. Trois pas plus loin, je regrette de n’avoir pas plutôt répondu qu’il gèlerait en enfer avant que je vote pour des fafs. Je me le garde sous le coude pour la prochaine fois.