
« Nous vivons chez nos chats« : La journée ordinaire d’un couple d’artistes très amoureux, qui travaillent à la maison et doivent affronter deux deuils parallèles. Une tranche de vie réaliste et hyper touchante. Ma critique détaillée ici.
« La boîte de petits pois« : Née dans un état qui n’existe plus – l’URSS -, GiedRé raconte ses souvenirs d’enfance, la vie de sa grand-mère, de ses parents et de son oncle (déporté à 17 ans en camp en Sibérie car il avait chanté une rengaine rebelle dans la rue). Une vie qui ressemblait à une longue file d’attente, pour du beurre, des chaussures ou une boîte de petits pois. Le dessin aux crayons de couleur sert à merveille la naïveté du regard de l’autrice.
« Le goût de la papaye« : Dès l’enfance, Sompong ne rêve que d’une chose : voir le monde. Comme il est très doué pour les langues étrangères, l’armée semble lui offrir les meilleures perspectives. À la fin des années 1930, il est choisi pour représenter la Thaïlande dans un programme d’échange avec l’Allemagne… Entre épopée et quête identitaire, Elisa Macellari rend un hommage somptueux à son grand-oncle. Ma critique détaillée ici.
« Kitsune« : Un architecte célèbre, quinquagénaire couvert de gloire mais perturbé par un accident mortel survenu récemment sur l’un de ses chantiers, se rend au Japon pour y participer à un concours dont tout le donne gagnant d’avance. Parmi cette culture qui lui est si totalement étrangère, il commence à perdre pied et remet en question le sens même de sa vie…
« Enferme-moi si tu peux« : Six récits de vie étonnants qui interrogent sur des capacités trop rarement explorées de l’esprit humain. Entre la fin du XIXe et le milieu du XXe siècle, femmes, pauvres, malades et fous n’ont aucun droit. Parmi eux, Augustin Lesage, Madge Gill, le Facteur Cheval, Aloïse, Marjan Gruzewski et Judith Scott sont enfermés dans une société qui les exclut. Ils vont pourtant transformer leur vie en destin fabuleux… Ma critique détaillée ici.
« Les deux vies de Pénélope« : Chirurgienne pour une organisation humanitaire, Pénélope passe la plupart de son temps en mission dans des pays en guerre. Quand elle revient chez elle, elle retrouve un mari aimant, une fille adorable et un foyer rassurant. Et pourtant ces retours à la maison lui sont de plus en plus pesants… Portrait d’une femme qui sacrifie la maternité à sa vocation. Ma critique détaillée ici.
« Stand still stay silent« : De la fantasy post-apocalyptique scandinave au graphisme hyper-léché et à l’univers d’une grande richesse; sans doute mon plus gros coup de coeur de l’année. Deux tomes déjà parus en français (le 3ème sortira en février). Ma critique détaillée ici.
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Mille mercis pour ces découvertes !
Aaah, exactement ce qu’il me fallait ! Merci ! Pour quelqu’un à qui j’aurais bien offert Bagieu, mais qui pourrait l’avoir déjà …