- 1. « Kaleidoscope ». C’est une histoire de braquage assez classique: une bande de lascars avec des personnalités aussi diverses que leurs spécialités montent un casse ultra-audacieux, a priori impossible à réussir. Rien ne se passe comme prévu, les antagonismes internes menacent de tout faire capoter, etc. Sauf qu’ici, l’histoire est présentée dans le désordre, avec des allers-retours dans le temps qui dévoilent les secrets de chacun et explicitent les rebondissements dans le désordre. J’ai vraiment commencé à accrocher à partir du 5ème épisode, quand on découvre la motivation réelle du chef de bande. Vers la fin, ça devient assez sanglant. Sur Netflix.
2. « Cézembre » d’Hélène Gestern. Après son divorce et la mort de son père, Yann de Kérambrun décide de quitter son poste de professeur d’histoire à Paris pour retourner à Saint-Malo, où il a passé les étés de son enfance. Épuisé, il n’a plus qu’un désir : retrouver la mer et la contempler depuis la maison dont il a hérité, le long de la plage, face à l’île de Cézembre. Mais très vite, il observe avec intérêt les impressionnantes archives de sa famille dans l’ancien bureau de son arrière-grand-père. Octave, qui rêvait de dompter la mer en concevant de nouveaux bateaux à moteurs, a fondé au début du XXe siècle une illustre compagnie maritime, Kérambrun & Fils. L’entreprise a contribué à la fortune de la ville, et son fondateur en est devenu un des principaux notables. Pourtant, derrière l’image brillante de grand capitaine d’industrie s’esquisse rapidement un autre visage : le patron génial, visionnaire était un père et un époux inquiet, un homme qui a traversé des drames et dont les doutes et les blessures semblent faire écho à celles de son arrière-petit-fils. Pourquoi ? Quelles douleurs, quels secrets taisent les carnets d’Octave? En plongeant dans la vie de son aïeul, son arrière-petit-fils va tenter de comprendre les failles qui lézardent la légende familiale. Ce faisant, il découvrira l’histoire tourmentée de Cézembre, une île microscopique mais à la position stratégique face à la ville… Un bon gros pavé comme on aime en lire l’été, avec une histoire intéressante et bien ficelée. L’évocation de la mer est particulièrement réussie et – oserai-je le dire? – rafraîchissante par ces temps de canicule.
3. « La ballade de Baumerire: Toute une montagne ». Le grand-père de Judith s’est écroulé, la tête dans son bol de semoule. Prête à tout pour le sauver, la petite souris s’engage dans une folle quête à la poursuite du Guéridoux, la seule plante capable de le guérir. D’abord découragée par l’immensité de la tâche, elle réussira à relever le défi, aidée, d’étapes en étapes, par de joyeux compagnons. Un conte poétique, émaillé de chansons loufoques, sur le dépassement de soi et l’amitié. Avec une souris, un rat-conteur chanteur, un lapin casanier, une castor fine cuisinière et un crocodile amateur de calembours! J’ai adoré ce premier tome d’une nouvelle série d’albums jeunesse; comme d’habitude, je me suis régalée de l’humour de Loïc Clément et des détails géniaux dans les ravissantes aquarelles d’Anne Montel.
4. Le coffret « La maison dans laquelle » de Mariam Petrosyan. Ce livre incroyable est à ce jour la dernière entrée de mon Top 20 de tous les temps. Monsieur Toussaint Laventure vient d’en publier une édition limitée magnifique, et comme je ne l’avais qu’en e-book, je me suis jetée dessus!
5. Les ballerines Praise d’Anonymous, en noir. Gros coup de coeur pour leur coupe originale et élégante. Mais j’ai de plus en plus de mal à marcher complètement à plat…
6. Ce coussin XL, revêtu de cette taie en lin lavé bleu pétrole, orne fièrement ma tête de lit et soutient mes vieilles lombaires quand je lis le soir avant de m’endormir.
7. Les tracking cards Spotminders. Depuis que j’ai failli perdre mon sac à dos jaune en rentrant d’Edimbourg, nous utilisons des Air Tags pour localiser chacun de nos bagages. Le problème, c’est qu’une fois sur deux, on les détruit en essayant de changer la pile, ce qui fait copieusement chier au prix qu’ils coûtent. Pour notre prochain voyage, nous allons donc basculer sur ces cartes rechargeables.
8. Ces collants résille rose fluo beaucoup trop beaux de la dernière collection Snag Tights.
9. La robe Chiara imprimé Bouquet de Make My Lemonade. Deuxième fois d’affilée que je découvre l’existence d’une pièce qui me fait hyper envie une fois qu’elle est sold out. C’est bien la peine d’avoir pris des actions dans la boîte, tiens. Je me suis inscrite à l’alerte stock, et j’attends son retour avec la patience qui me caractérise (= aucune).
10. La Funko Pop Monstera. Funko Pop sort une série de figurines intitulée « Flora ». Et ce mini-Bruce est beaucoup trop mignon. Mais honnêtement, on pourrait en dire autant de la tulipe, du cactus et du tournesol.
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