La semaine en bref #338

Lundi:

★ J’apporte mes dernières commandes Vinted au relais colis, puis bascule mon adresse d’expédition de Monpatelin à Bruxelles, masque les objets qui se trouvent ici (et qui vont y rester jusqu’à mon retour) et démasque ceux qui se trouvent là-bas. Ca fait un peu de boulot, mais je préfère ça plutôt que d’avoir deux comptes séparés.

Mardi:

★ A la fin du long voyage en train habituel, bonheur de retrouver Chouchou, mais aussi des températures vivables.

Mercredi:

★ Encore une éditrice au bord du burn out qui quitte son job… Le statut de freelance n’a pas que des avantages, mais même à revenu équivalent, je ne l’échangerais pas contre un poste salarié. Au moins, je peux moduler la quantité de travail que j’accepte et me ménager des pauses quand j’en ai besoin.

★ Pour fêter mon retour, on dîne au Bombay BBQ – notre resto préféré, où on n’est pas allés depuis des lustres. On n’en profite d’autant mieux qu’on a enfin trouvé la bonne quantité de nourriture à commander pour ne pas ressortir au bout de notre vie. Par contre, même les plats sans petite flamme sont à la limite de ce que je peux supporter niveau piquant, donc je n’ose pas imaginer ce que donnent les plats à 3 petites flammes!

Jeudi:

★ Les trois jupes Collectif commandées le 7 sont trop petites. Sur leur site internet où je me suis rendue afin de consulter la procédure de remboursement, je tombe sur un message annonçant que la marque est en redressement judiciaire depuis le 9, et n’accepte donc plus ni retours ni échanges. Heureusement, j’ai payé avec PayPal qui a une super protection acheteurs. Le formulaire d’ouverture de litige ne proposant aucune option qui correspond à mon cas, je me fends d’un appel téléphonique, et un charmant monsieur me dit qu’il s’occupe de tout pour moi. A suivre.

Vendredi:

★ Ce matin, je teste le massage kobido chez Naé Beauté. La partie où l’esthéticienne donne plein de petites tapes vigoureuses sur le visage est, euh, sensoriellement intéressante. Je ne déteste pas. Mais je suis au regret de dire qu’en ressortant, je n’ai pas récupéré ma tête d’il y a 10 ans.

★ J’ai repéré une robe en lin qui me plaît sur une pub cos. Mais en arrivant devant au niveau de & other stories, je me rends compte que j’ai complètement loupé l’autre magasin qui était bien avant sur mon trajet. Je rentre quand même chez & other stories pour voir. J’essaie une longue robe verte; elle me va bien; je me dirige vers la caisse pour la payer. En chemin, je tombe sur un chemisier noir très gothique et soldé à – 60%, qui serait parfait pour certains shootings. J’ai la flemme de remonter au 2ème étage pour l’essayer, donc je l’achète avec la longue robe verte en me disant qu’au pire, je reviendrai l’échanger. J’ai presque atteint la sortie quand j’aperçois sur un portant la fameuse robe en lin de chez cos, qui du coup était bien en lin mais pas du tout de chez cos. Bon, ben heureusement qu’il y a un ascenseur.

Samedi:

★ Premier souci sur Vinted. J’ai envoyé une théière en parfait état; l’acheteuse me signale photo à l’appui qu’il manque de la peinture sur l’anse. Et selon elle, il n’y a pas d’éclats dans la boîte. C’est super bizarre mais OK, je la rembourse sans discuter.

★ A cause de la météo belge (plus de 30° et prévision d’averses de grêle), nous renonçons à nos projets initiaux pour aujourd’hui. A la place, nous décidons d’aller visiter la maison Hannon – et pas en transports en commun, parce que par cette chaleur, je veux passer le moins de temps possible dans la rue ou à bord d’un véhicule non climatisé plein d’autre gens. Vive Poppy.

★ Après ça, nous allons goûter chez Roselyne où les gâteaux et les scones salés sont délicieux quoi que fort petits pour le prix. Mais là non plus, il n’y a pas de climatisation, si bien que nous ne nous attardons pas.

★ Bon, alors, le dernier Miyazaki, euh… Je vais très poliment me contenter de dire qu’il ne me parle pas – voilà.

Dimanche:

★ Mais comment ça, encore des règles? Les précédentes se sont arrêtées il y a 10 jours! J’en ai maaaaaaaaaarre.

★ Bon, ben puisque me voilà coincée à la maison aujourd’hui, attaquons le puzzle Harry Potter rapporté de York et poursuivons les préparatifs du prochain voyage. Mais groumpf, hein.

★ Je ne suis pas allée faire le marché, je n’ai pas nettoyé les vitres, je n’ai pas fini le guide de York pour le blog, et je n’ai pas non plus essayé le costume pour notre prochain Projet Délirant. J’espère que la semaine à venir sera plus productive!

★ Kamala Harris présidente! Je ne vous demande jamais grand-chose, Dieubouddhallah, mais pitiépitiépitié, laissez-moi voir une femme noire mettre la pâtée à Donald Trump. Merci, bisous.

3 réflexions sur “La semaine en bref #338”

  1. Je suis allée voir le Garçon et le Héron fin mars. J’avais bien aimé visuellement, mais l’histoire ne m’a pas accroché plus que ça et je n’ai pas tout compris. Je vais retourner le voir fin août pour retenter l’expérience.

    Beaucoup de rappels visuels à d’autres films qui m’ont fait plaisir:

    * Le voyage de Chihiro: Mahito qui me rappelle Chihiro en version garçon, les silhouettes-ombres comme dans la ville et les restaurants fantômes, les grenouilles, les oiseaux et les bandes de tissus volantes qui m’ont rappelé les oiseaux papiers de Yubaba.

    * Princesse Mononoke: les warawara m’ont rappelé les kodama. Et le vieux pélican m’a rappelé Nago, le vieux dieu Sanglier

    * Mon voisin Totoro: la forêt et les paysages m’ont rappelé cette ambiance de Japon rural (ainsi que l’absence de la mère, commune au deux films).

    * Porco Rosso, le Vent se Lève, etc: l’amour de Miyazaki pour les avions avec les morceaux de cockpit, le père qui travaille comme ingénieur aéronautique.

    * Le château ambulant: l’autre monde avec le grand-oncle qui me rappelle les paysages des prairies « magiques »

    1. Le Rose et le Noir

      Oui, on s’est fait à peu près les mêmes réflexions avec Chouchou. Mais cette fois, le mashup n’a pas pris pour moi.

  2. Je n’ai pas du tout accroché au dernier Miyazaki, je me souviens m’être demandé en sortant du cinéma ce qu’ils avaient tous fumé pendant la réalisation, tellement ça partait dans tous les sens.

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