1. MOOY, un resto anversois spécialisé dans les brunchs et les afternoon teas. Très instagramable avec son intérieur rose et sa profusion de fleurs artificielles. Assiettes pas données, mais vraiment fraîches et gourmandes. Un peu bruyant à l’heure du déjeuner. Pas de paiement en cash. Réservation conseillée. Vous pourrez retrouver cette nouvelle adresse sur mon guide d’Anvers.
2. Mon nouveau coussin orthopédique. Mes lombaires quinquagénaires lui disent merci. Oui, il est uber moche, mais une fois la chaise poussée sous la table ou mon auguste fessier posé dessus, on ne voit plus grand-chose de toute façon. Après, comme c’est mon premier, je n’ai aucun point de comparaison.
3. L’outlet Paul Marius. Des sacs de la marque qui présentent de très légers défauts mais qui, du coup, sont vendus à des prix ridicules. J’en ai profité pour offrir un sac à dos à Chouchou et pour me prendre, euh, quelques bricoles. C’EST UNE ARNAQUE! C’était super bien fait et j’avoue que je me suis fait avoir comme une bleue. Le site a disparu depuis, et j’ai contacté ma banque pour tenter de récupérer mes sous.
`4. Ce sublime papier peint à motif flamants roses, repéré… dans les toilettes de chez Luddites Books and Wine.
5. « L’amour est au menu », un manga de Sakaomi Yazaki traduit par Blanche Delaborde. Nomoto est passionnée de cuisine. Et bien qu’elle ne soit pas une professionnelle de ce métier, elle tient un compte sur Internet sur lequel elle poste des photos de ses petits plats. Mais le soir, quand elle rentre chez elle, elle n’a personne avec qui les partager… Jusqu’au jour où, ayant cuisiné en trop grande quantité, elle propose à sa voisine célibataire de dîner avec elle. Sa vie pourrait bien prendre de nouvelles couleurs… Un yuri gourmand, qui présente une relation réaliste et pleine de respect entre deux femmes très différentes. J’ai dévoré le premier tome et attend la suite avec impatience.
6. Distinguée, un tampon du Tampographe Sardon qui « combine l’élégance à la française à la vulgarité parisienne ». J’adore.
7. Bone Kitty. Si ma motricité fine me permettait de crocheter des amigurumi, je m’offrirais ce patron de squelette de chat.
8. « A gentleman in Moscow », l’adaptation en mini-série d’un roman d’Amor Towles que j’ai adoré. En Russie après la Révolution d’Octobre. Plutôt que de l’exécuter, un tribunal bolchévique assigne le comte Alexander Rostov à résidence à l’hôtel Métropol jusqu’à la fin de ses jours. Désormais, il ne vivra plus dans une suite luxueuse mais dans une chambre de bonne glaciale; cependant, il dînera toujours au restaurant et sera libre de ses allées et venues tant qu’il ne met pas les pieds dehors… C’est lent, ça n’a pas tout à fait le charme du bouquin, et c’est assez étrange de voir un acteur noir jouer un Russe dans une histoire au cadre historique réaliste – mais les décors, les costumes et le jeu d’Ewan McGregor en font tout de même une bonne distraction.
9. Mes ballerines rouges Josef Seibel. Je les avais déjà en noir, et elles étaient super confortables, alors pourquoi me casser la tête à chercher un autre modèle? (Taillent normalement, pas de souci pour des pieds larges.)
10. Passer mes brosses à cheveux en plastique au lave-vaisselle. Je découvre sans doute l’eau chaude avec 50 ans de retard, mais après toute une vie à m’acharner pour nettoyer mes brosses des cheveux et de la poussière incrustés entre les picots, puis à les remplacer une fois qu’elles étaient vraiment trop sales, je suis épatée par le résultat. Ce qui n’est pas emporté pendant le lavage s’agglomère de telle sorte qu’il suffit de tirer dessus pour que ça vienne facilement.
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Bonjour,
pour info, le lien vers l’outlet Paul Marius renvoie un message d’erreur « forbidden ».
En effet, et en creusant un peu, je viens de m’apercevoir que c’était une arnaque! Je me suis fait avoir, le site était vraiment très bien fichu et paraissait légitime.