Lundi:
★ Ma quinzaine d’anniversaire est terminée. Cénul. Mais aussi: cétéchouett.
Mardi:
★ Super déçue d’apprendre que le deuxième roman d’une autrice dont j’avais traduit le premier (plutôt bien, à en juger le peu de corrections apportées à mon travail) a été confié à quelqu’un d’autre sans que personne ne me contacte pour me le proposer d’abord. Je me console en me disant qu’au moment où il est tombé, j’aurais eu beaucoup de mal à lui faire de la place dans mon planning.
Mercredi:
★ Très emballée par le roman de fantasy française que je suis en train de lire, j’envoie un mail de félicitations à l’éditrice dont le nom est cité dans les remerciements. J’ai travaillé avec elle jusqu’en 2021; c’est quelqu’un que j’apprécie et je suis ravie pour elle qu’elle ait pu bosser sur un projet aussi génial.
★ Première conséquence vraiment négative de l’Affaire-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Mais on espère encore pouvoir la contourner au moins partiellement.
Jeudi:
★ Argh! Une invitation à l’inauguration du Festival du Livre de Paris, jeudi prochain! Alors que les billets d’Eurostar sont hors de prix 8 jours avant et que je suis terrifiée à l’idée de choper des punaises de lit dans un hôtel! Que faire? D’un côté, je n’ai pas réseauté depuis avant la pandémie. De l’autre, j’ai déjà dépensé beaucoup de sous ce mois-ci, et la facture de la réparation de la fuite d’eau dans ma résidence vient juste de tomber…
Vendredi:
★ Si je veux deux invitations à la prochaine session de Nocturnes des musées bruxellois? Evidemment! (Traduction: attendez-vous à voir pas mal de maisons Art Déco sur mes réseaux sociaux dans les semaines à venir.)
★ Après que j’ai fini de bosser, Chouchou et moi sautons dans un bus pour nous rendre à Schaerbeek, où deux longues avenues sont célèbres pour leurs cerisiers en fleurs au printemps. Notre shooting est bref mais efficace. Et même en milieu d’après-midi un jour de semaine, nous ne sommes pas les seuls à prendre des photos dans le coin.
Samedi:
★ On continue sur notre lancée d’hier avec le festival Floralia au château de Grand-Bigard. Beaucoup de monde, pas mal de boue, mais les fleurs sont déjà bien ouvertes.
★ Ce soir, Chouchou est invité à un anniversaire. Avant de partir, il sort du frigo une assiette couverte de papier alu. Intriguée, je demande: « C’est quoi, ça? » « Un crumble chèvre-tomate-oignon. » Mon incrédulité doit se lire sur mon visage, car il précise: « Je l’ai acheté chez Séquoïa et déballé pour que ça ait l’air d’un truc fait maison. » Je me disais bien.
★ En son absence, est-ce que moi et mes genoux arthritiques tentons la choré de « I did something bad » dans le salon? Personne ne peut rien prouver.
Dimanche:
★ Mon Nokia 3210, qui était probablement plus vieux que certaines d’entre vous, est décédé paisiblement dans la nuit d’hier à aujourd’hui. RIP. Mission de la semaine prochaine: tenter de trouver un 3310 pour le remplacer.
★ Après avoir coché toutes les tâches de notre To Do List, on teste enfin Super Mario Party sur Switch. Beaucoup de fou-rires et de gesticulations, peu de points. Mais on s’amuse et c’est l’essentiel. Par contre, il se peut que dans le feu de l’action, j’aie traité Peach de grognasse. Ca tient quand même à peu de choses, la sororité: une course de rafting, et ça se dissout dans l’eau.
Salut, je vous ai aperçus vendredi vers le Parlement Européen 🙂
Merci pour toutes les recommendations sur ce blog. On s’est explosé le ventre à Mission Masala ! (À quand une succursale en France ??)
Côté mocktails, à Anvers, j’ai beaucoup aimé le Dogma ainsi que le BelRoy’s (At Nine). On n’a pas testé The Cobbler à Gand (leur menu n’est pas en ligne, et il y a trop de risques que leurs options sans alcool ne me conviennent pas), mais le Jigger’s était pas mal. Mon préféré a été à Bruxelles… le LIB! J’ai *adoré* le « jour de fête », à tel point que je viens de jeter un oeil aux prix des billets de TGV pour cet été (aïe), et aux hôtels (double aïe).
Je suis assez deg’ de ne pas avoir pu visiter le Musée Horta – pas assez prévoyante et c’était complet quand je me suis penchée sur la question, 2 jours avant.
Mon deuxième gros regret, c’est de ne pas avoir acheté de croustillons quand j’en ai vu à Gand, et n’en avoir pas trouvé à Bruxelles 🙁
Est-ce que tu connais la boulangerie Goods? On est passés devant par hasard vendredi aprèm (mais on n’avait plus faim), et on y est retournés le lendemain pour le petit dej. Les brioches sont bof (sèches), mais leur pain au chocolat au topinambour est incroyaaaable. Oui, ok, il y a sûrement 3 fois plus de praliné que de topinambour dedans. Je voulais aussi leur prendre le croissant « kimchi-cheese » que j’avais vu la veille, mais il s’est fait sold-outer pendant qu’on déjeunait au resto en face ç_ç
Vraie question pour cette histoire de deuxième roman : tu fais quoi dans ce cas ? Tu laisses couler ou tu envoies quand même un mail (pas forcément méchant) pour signaler que ce n’est franchement pas correct ? Je sais que techniquement, il n’y a aucune obligation légale de la part de la maison d’édition, mais c’est très limite quand même.
C’est effectivement une coutume et pas une obligation. L’éditrice qui gère désormais l’autrice n’est pas la personne qui m’avait proposé le premier roman de celle-ci; je ne connais même pas son nom. Et je ne me fais pas confiance pour écrire ce genre de mail.