1. « Astrid et Raphaëlle ». J’ignore comment j’ai pu n’entendre parler de cette série qu’aujourd’hui, alors qu’elle compte déjà 4 saisons. On me dit jamais rien. Bref. Il s’agit donc d’une série policière mettant en scène deux héroïnes: une commandante de police impulsive et bordélique qui fait équipe avec une experte en criminologie autiste pour résoudre des affaires de meurtre. J’ai détesté le premier épisode: réalisation typique de la télé française, dialogues qui sonnent faux, phrasé archi-énervant de la comédienne qui joue Astrid… J’ai failli arrêter au bout d’un quart d’heure. Mais je sentais une vraie volonté didactique de la part des auteurs, et beaucoup de bienveillance dans le personnage de Raphaëlle. Au final, j’ai donc continué, et j’ai fini par m’habituer aux défauts de la série pour ne plus me concentrer que sur ses bons côtés, notamment la relation entre les deux femmes. Malgré mes réserves, je recommande donc « Astrid et Raphaëlle » à toutes les personnes autistes ou intéressées par le sujet des TSA. Sur France 2.
2. « 1374 days: my life with Long Covid ». Un essai personnel très long et détaillé dans lequel Giorgia Lupi raconte comment ses très nombreux symptômes n’ont fait que s’aggraver chacune des 3 fois qu’elle a attrapé le Covid, la perplexité du corps médical face à sa condition et la manière originale dont, en tant que graphic designer, elle a choisi de documenter son état au jour le jour. (En anglais)
3. Les gamelles pour chats en céramique de Terres d’Oxymore. « C’est quoi ces croquettes de merde? », « Humaine je vois le fond », « Plus de croquettes PUTAIN »… Clairement, si j’avais encore des chats, il m’en faudrait une.
4. Les pâtes au potimarron d’Healthy Lalou, ultra-simples à préparer. Parce que manger des légumes de saison en hiver, ça devient assez vite répétitif et barbant.
5. Le masque de nuit bébé Yoda Grogu, beaucoup trop choupi.
6. « Alison », de Lizzy Stewart. Née dans une petite ville du Dorset et une famille sans histoire, Alison s’est mariée à 18 ans. Depuis, elle s’ennuie ferme et peine à trouver sa place dans le monde. Sa rencontre avec un peintre connu, bien plus âgé qu’elle, la pousse à tout abandonner pour partir s’installer à Londres. A son tour, elle devient artiste… Le parcours d’une femme raconté au moyen d’un mélange de texte, d’illustrations muettes et de bande dessinée. Une oeuvre sensible et profonde qui m’a fait penser aux albums de Posy Simmonds.
7. Ces moules à glaçons en forme de crâne, pour les gens qui ont le goût du macabre toute l’année et pas d’interdiction de boire de l’alcool à cause de leurs médocs.
8. Ces bottes de pluie Ilse Jacobsen, qui me font craquer en jaune pétant assorti à mon sac à dos (vous savez, celui que j’ai perdu et retrouvé en rentrant d’Edimbourg début janvier).
9. Le linge de lit Paolisi en coton et lin lavé, irait terriblement bien dans ma mezzanine aux murs roses.
10. La nouvelle robe en lin Wendy, de Cotton Candy Wear, serait tellement belle dans l’imprimé du modèle Scarlett! J’ai déjà quatre robes faites sur mesure par Romana, et elles sont absolument parfaites.
Ces bottes sont juste à tomber (dans les flaques). Merci pour cette belle sélection.