1. La 3ème (et a priori dernière) saison de « Ted Lasso ». Même si elle a commencé un peu mollement, j’ai de grands espoirs pour la suite et fin. Sur AppleTV. Bonus: un article en anglais sur les leçons de leadership à retenir de la série.
2. La robe Elowen 27 de Linen Naive, en beige. J’ai décidé de ne plus commander de vêtements de cette marque. D’abord, les tailles varient énormément d’un modèle à l’autre: je prends toujours du L; parfois il est trop juste, parfois il est pile bien, et parfois je flotte dedans. Ensuite, la qualité du lin n’est pas top comparée à celle d’autres marques connues. Enfin, parfois, le service client vous certifie qu’un modèle est en stock, alors qu’ils n’ont pas encore reçu l’étoffe pour commencer la fabrication. Mais j’avoue que là, je suis quand même hyper tentée.
3. « Là où règnent les baleines ». Roanne adore les romans d’horreur et la natation synchronisée, d’accord, mais elle avait vraiment d’autres projets que de partir passer l’été chez son oncle Kierzic, qu’elle ne connaît même pas! Ce type aussi grincheux que mystérieux vit en solitaire dans un phare planté au large de la côte Atlantique, avec pour toute compagnie une mouette rieuse et les rumeurs de l’océan. Dès son arrivée, Roanne est déterminée à s’en aller au plus vite de ce tas de caillou désert. Désert, vraiment? Dans la bourgade du coin, on raconte que des naufrages auraient lieu les soirs de pleine lune. Au même moment, un bateau de pêche est porté disparu. Et d’où vient cette voix d’enfant qui l’appelle chaque nuit? Plus le temps passe, plus Roanne se demande si Kierzic ne serait pas un… Un quoi? Pour le savoir, il vous faudra lire ce très chouette roman jeunesse de Jolan C. Bertrand, superbement illustré par Hélène Let.
4. Les sandales plates Bokyna. Si légères qu’on ne les sent pas aux pieds, si peu encombrantes qu’on peut même les trimballer dans un sac à main. Véganes, elles existent en plusieurs modèles, deux largeurs et plein de couleurs. J’ai pris les Soulmate en olive, et si je peux marcher avec plusieurs heures sans avoir mal aux pieds, j’en achèterai sûrement une autre paire en rouge.
5. « Entre soumission et pression, nos lectrices expliquent pourquoi elles ont sorti les hommes de leur lit ». Je n’ai pas encore lu le livre d’Ovidie dont il est question dans cet article, mais ça fait des années que je dis que si un jour, je ne suis plus avec Chouchou, il sera hors de question de me remettre en couple avec un homme. Apparemment, je ne suis pas la seule.
6. Ce sac à dos avec un adorable motif forestier signé Catherine Howe est l’auto-cadeau que je me suis fait pour avoir beaucoup bossé et presque rien dépensé en mars.
7. Cette recette filmée de pâtes aux petits pois, aux asperges et au fromage de chèvre.
8. « Mégabassines: Pourquoi s’y opposer? ». Si comme moi vous avez découvert leur existence ce week-end, lisez cet article informatif de Greenpeace pour vous coucher moins bêtes.
9. Le sac Santorini de chez Wanderers. Bien sûr, je le convoite en Blush, la couleur la plus fragile et la moins pratique du monde. Mon cerveau me fatigue.
10. « Stérilité féminine: quand une femme ne peut pas avoir d’enfant, on la considère comme cassée ». Les réactions de la société sont déjà insupportables quand on a choisi de ne pas avoir d’enfant. Cet article m’apprend que c’est encore pire quand il s’agit d’une situation subie. Vivement qu’on envoie la société se faire cuire le cul.
Faut-il dire que j’ai été ultra-convaincue par l’article de 20 Minutes ?
Au-delà de ça, j’ai été rassurée et me sens désormais beaucoup moins seule. Bref, j’ai passé commande du livre, Satan me l’apporte au boulot demain, si tout va bien. Merci pour ce partage.
Rhooo les sandales sont magnifiques et la semaine à l’air un peu épaisse tout ce que j’aime. J’aime aussi l’idée qu’elles vont jusqu’au 44. Je galère déjà avec mon 41, j’imagine les tailles plus grandes.
Pour avoir vécu des années de galère en FIV , je confirme que l’on peut avoir cette impression de ne pas être « une vraie femme ».
A bientôt 50 ans et n’ayant plus d’utérus, quand j’entends les militantes pseudo féministe (mais surtout intolérante) dire que l’on est pas femme si on n’a pas d’utérus, ça me défrise. Je sais bien que ce n’est pas moi qui suis visée mais je me sens solidaire.
Concernant le point 10, je confirme que le regard des autres et les remarques sont trés difficiles à vivre quand la situation n’est pas voulue. J’ai subi la stérilité secondaire (j’avais déjà un enfant d’une relation précédente) et j’ai eu droit à toute sorte de remarques et questions alors qu’on était en parcours FIV et qu’on essuyait échec après échec. J’ai rencontré mon mari quand mon fils avait 5 ans et on a mis 6 ans 1/2 à avoir un 2e enfant.