What I did in March 2023

J’ai passé les trois premières semaines de mars à Monpatelin, où je n’ai pas fait grand-chose d’autre que bosser simultanément sur deux romans jeunesse rendus en fin de mois. Une visite de mon beau-frère à sa mère m’a donné l’occasion de retourner à Toulouse avec lui pour quelques jours. Les rapports entre ma soeur et moi sont toujours aussi tendus et bizarres; en revanche, j’ai eu plein de longues conversations très agréables avec David, et j’ai aussi pu parler un peu avec mes deux neveux (par Whatsapp, concernant Darklulu que je n’ai plus vu en vrai depuis maintenant près de 4 ans). Puis Brussels Airlines m’a ramenée à Bruxelles où j’ai fêté mes 52 ans avec Chouchou, vu deux expos et fait ma toute première manucure semi-permanente en vue de notre escapade de début avril.

Comme ça marche assez bien pour moi côté boulot, j’ai réactivé le PER que j’avais cessé d’alimenter à l’époque où on nous a imposé la retraite complémentaire de l’IRCEC. Mon petit doigt me dit que je m’en féliciterai le jour où je voudrai arrêter de bosser. J’ai également souscrit un nouveau PEL: il faudra bien un jour quitter l’appartement de Monpatelin, que j’adore mais qui n’est pas top en termes d’accessibilité. Or, mieux vaudrait le faire pendant que je suis encore en activité et capable d’assumer le crédit immobilier que je devrai certainement reprendre pour acheter un bien équivalent dans une grande ville. Laquelle? J’ai 4 ans pour y réfléchir. (Mon coeur penche vers Aix-en-Provence; ma tête vers Lille; Lyon pourrait être un bon compromis.)

Ce mois-ci a surtout été marqué par de grosses avancées dans la thérapie et le traitement du TDA de Chouchou. La Ritaline a commencé par lui couper l’appétit (mais ça n’a pas duré), et elle perturbe quelque peu son sommeil. En revanche, elle l’aide énormément à se motiver et à maintenir son attention. Et quoi qu’un peu effrayante au premier abord, la cartographie complète de ses troubles mentaux lui a fourni le mode d’emploi dont il avait toujours manqué pour gérer sereinement sa carrière et sa relation avec moi – entre autres choses. Au final, son diagnostic officiel a encore plus d’effets positifs pour lui que n’en avait eu le mien, et bien qu’il n’ait pas résolu tous ses problèmes d’un coup de baguette magique, je m’en réjouis très fort.

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