1. « Daisy Jones and the six »: Adaptée du roman éponyme de Taylor Jenkins Reid, cette mini-série en 10 épisodes raconte l’ascension d’un groupe de rock des années 70 (fictif, mais assez largement inspiré de Fleetwood Mac). 20 ans plus tard, le public ignore toujours pourquoi les membres se séparèrent au faîte de leur gloire, après avoir donné un concert d’anthologie. Leur histoire est reconstituée à la manière d’un documentaire, à coups d’interviews et de flashbacks. Pas la série de la décennie ni même de l’année, mais une bonne capture de l’ambiance sex drugs and rock’n’roll de l’époque. Sur Prime Video.
2. « La housse et la couette ». J’ai littéralement pleuré de rire en écoutant cette chanson de Juliette. Comme devrait le faire toute personne normalement constituée ayant un jour dû affronter seule l’épreuve du changement de housse de couette.
3. Le jeu de tarot « Buffy the Vampire Slayer ». Je ne crois absolument pas à la divination par les cartes (ni à la divination tout court d’ailleurs), mais j’aime beaucoup les tarots illustrés en tant qu’objets. Or, celui-ci est de toute beauté. Sachant que la série occupe une place importante dans ma vie à titre privé aussi bien que professionnel, il s’agit donc un achat obligatoire.
4. « Carnet d’un jardinier amoureux du vivant ». Dans la suite de son « Carnet d’un voyageur immobile », Fred Bernard continue à croquer l’évolution de son jardin au fil des saisons. Cette fois, il intercale des portraits de philosophes et d’écrivains qui ne m’ont pas parlé du tout (vraiment, je suis dépitée d’avoir payé pour une page consacrée à Houellebecq…). Mais il évoque aussi la mort brutale de son frère survenue vers la fin de la période concernée, et c’est très émouvant.
5. Le Glowing Places d’OPI. Je ne m’achète plus que très rarement du vernis à ongles, mais j’ai craqué pour ce doré pailleté très beau et très subtil, que la photo restitue horriblement mal. Il appartient à la collection végane Nature Strong, ce qui justifie sans doute son prix plus élevé. Je me demande cependant quels produits d’origine animale entrent dans la composition des vernis ordinaires: du gouda mi-vieux? Des gésiers de canard?
6. Ce puzzle rond Eeboo « Birds and blossoms », avec une magnifique illustration colorée de Jennifer Lewis Orkin. Parfait pour saluer l’arrivée du printemps en fin de mois!
7. Cette broche hirondelle Fable England. Voir remarque ci-dessus.
8. Cette recette toute simple de soupe de petits pois, légère et savoureuse.
9. Ce torchon orné d’un poulpe violet, fabriqué au Portugal par La cerise sur le gâteau.
10. « L’automne est la dernière saison », de Nasim Marashi. Dans le brouhaha des rues agitées de Téhéran, Leyla, Shabaneh et Roja sont à l’heure des choix. Trois jeunes femmes diplômées, tiraillées entre les traditions, leur modernité et leurs désirs. Leyla rêve de journalisme ou de devenir libraire. Son mari, pourtant aimant et attentionné, a émigré sans elle. A-t-elle eu raison de ne pas le suivre et de rester? Shabaneh est courtisée par son collègue, qui voit en elle une épouse parfaite. Comment démêler si elle l’aime, si elle peut se résoudre à abandonner son frère handicapé, alors qu’elle en est l’unique protection? Roja, la plus ambitieuse, travaille dans un cabinet d’architectes, et s’est inscrite en doctorat à Toulouse – il ne manque plus que son visa, passeport pour la liberté. Vraiment? La solution est-elle toujours de partir? En un été et un automne, elles vont devoir décider… Le roman que je suis en train de dévorer à l’heure où j’écris ce billet.
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Il y a souvent des protéines de soie dans les vernis et du carmin de cochenille
j’imagine que par vegan ils impliqnent aussi qu’il n’y a pas eu de tests sur des animaux ?