What I did in August 2025

Toujours épuisée par le combo périménopause + chaleur, je ne me suis fixé aucun autre objectif pour ce mois d’août qu’y survivre dans dans un état de délabrement minimal. Je n’ai pas pris de vacances, mais je dois bien admettre que mon travail a avancé au ralenti, et que j’ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur n’importe lequel des trois textes que je traduisais en parallèle. J’en ai tout de même fini un (ironiquement, celui que je n’avais pas encore le feu vert pour commencer), et je suis environ à la moitié des deux autres.

Le reste du temps, hormis pour une excursion d’une journée à Forestia en Belgique, je me suis contentée de faire des choses qui ne réclamaient que peu d’énergie: expos, puzzles et lecture. J’ai eu la main plutôt heureuse dans ce dernier domaine: « Confessions » de Catherine Airey, « Darkly » de Marisha Pessl, « En caravane » d’Elizabeth von Arnim puis « Le palmier » de Valentine Goby m’ont tous enchantée dans des registres très différents.

Pour l’essentiel, j’ai passé ce mois à attendre. Attendre un retour à des températures vivables. Attendre la reprise des activités normales. Attendre le début de ma saison préférée. Attendre notre prochain voyage. Attendre que Chouchou vienne à Monpatelin et puisse m’aider avec divers aménagements que je ne peux pas réaliser seule. Attendre que quelque chose dans l’actualité vienne me redonner un peu d’espoir (non, les fiançailles de Taylor et Travis, si attendrissantes soient-elles, ne comptent pas).

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