10 things I love whenever #191

1. Cette séance de yoga qui dure à peine 13 mn, pour travailler en douceur la mobilité des hanches. (En anglais)

2. « Tu es là », album poétique avec un texte de Laëtitia Bourget illustré sur papier calque par Joanna Concejo. Chaque page accueille une illustration délicate, appliquée, émouvante. On y retrouve des élans de nostalgie liés à l’enfance, les liens familiaux, affectifs, et ceux avec la nature. Au sein de ces pages, trois femmes d’une même famille et de générations différentes se retrouvent à nouveau réunies en enfance. La finesse des dessins et le jeu des transparences en font un objet magnifique (quoi qu’évidemment pas donné).

3. Mon sac à main Pont des Arts de Zède, en version mini et coloris camel. Je bave aussi sur sa déclinaison sac à dos en bordeaux, sans toutefois réussir à justifier son acquisition. (Si vous êtes intéressée par un article de la marque, demandez-moi un code de parrainage, ça vous fera 10€ de réduction sur votre première commande.)

4. Les tasses à café et mugs chats de The Nest Kreationen, sur Etsy.

5. Les mini-cercueils de BlackLillyBee, façon Polly Pocket mais habités par des fantômes.

6. « Cérémonie d’orage » de Julia Armfield. Alors qu’une pluie ininterrompue s’abat sur la planète, trois soeurs londoniennes se réunissent, à la mort de leur père éminent architecte, dans la spectaculaire maison de verre qu’il a construite sur l’eau. Griefs et rancoeurs resurgissent, la bataille pour l’héritage commence. Mais les soeurs ignorent la véritable raison de leur présence ici…  C’est attirée par les couleurs de sa couverture et la comparaison de l’autrice avec Emily St-John Mandel que j’ai fait l’acquisition de ce roman. Je ne l’ai pas regretté: son atmosphère de fin du monde au ralenti est tout à fait saisissante, et son histoire gothique flirte avec l’horreur d’une manière très habile.

7. « Hyper » d’Emilie Chazerand. Miriam tient deux journaux intimes : l’officiel pour sa mère et l’officieux qui contient toute la vérité… ou presque. Je ne suis qu’une grousse de dix-sept ans. C’est Dimitri, un mec de ma classe, qui a inventé le terme. Grosse + rousse = grousse. C’est aussi lui qui a lancé mon surnom officiel :  » MiamMiam  » au lieu de  » Miriam « . Bien trouvé, non ? Et sinon, je m’habille comme un maître-chien, parce que ma mère dit qu’avec ma morphologie, faut éviter les motifs et les couleurs. Je hais le lycée. Au pire, on m’y déteste, au mieux, on m’y méprise. J’ai le coeur dur et la peau molle alors que ça devrait être l’inverse. Je m’aime pas. Je m’aime plus. Alors je veux juste rompre. Chacun des romans jeunesse de cette autrice est bourré d’humour et de bienveillance – l’équivalent d’un bonbon acidulé que je savoure avec délectation.

8. Le puzzle Witchcraft de Trevell. En règle générale, je suis plutôt fan du format 1000 pièces, mais je craque complètement pour cette illustration, disponible en 500 ou 99 pièces.

9. Les nouilles biang biang de la Taverne de Zhao. Une large nouille de deux mètres de long avec une sauce légèrement piquante et une garniture qui explose de goût (nous avons testé le boeuf mariné et il était bon à se rouler par terre). Est-ce que c’est gracieux à manger? Pas trop. Mais addictif? Tellement. En plus de son nouveau restaurant du parvis Saint-Boniface à Bruxelles, l’enseigne a 9 établissements sur Paris.

10. Ce foulard champignons soldé à seulement 10€ sur le site de Fable England s’assortira parfaitement à mes robes rouges ou noires quand reviendra le temps béni de l’automne.

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