1. « The Durrells ». Dans les années 1930, une famille anglaise désargentée quitte Bournemouth pour s’installer à Corfou. Larry, l’aîné des 4 enfants, se prend pour un futur écrivain et refuse de chercher un travail indigne de son génie. Leslie, le cadet, a toujours une carabine à la main et tire sur tout ce qui bouge. Margo, seule fille de la famille, ne brille pas franchement par son intelligence. Quant à Gerry, le petit dernier, il est passionné par les animaux et ramène sans cesse de nouvelles bestioles à la maison. Leur mère veuve a bien du mal à tenir tout ce petit monde… Inspirée des romans autobiographiques du naturaliste Gerald Durrell, cette série drôle, ensoleillée et délicieusement désuète fait oublier les vicissitudes du monde moderne. 4 saisons disponibles en streaming sur Arte.
2. Les zucchini egg cups de Goodness Avenue – prochaine recette de flemme que je vais essayer quand je serai seule chez moi. (En anglais)
3. Le lit de bureau pour chats, une idée de génie pour tous les félinophiles qui aimeraient retrouver l’usage de leurs mains et de leur clavier.
4. « Feminicide: the approved terrorism ». Un essai percutant de Mona Eltahawy, rédigé suite à la récente attaque au couteau dans un centre commercial de Sydney dont l’auteur visait spécifiquement des femmes. (En anglais)
5. La figurine Molly Victorian Painter. Je sais que mon anniversaire était le mois dernier, mais si quelqu’un tient vraiment à me faire un cadeau en retard, ceci serait extrêmement bien accueilli.
6. Le Salmon Sea Wellington. Si j’étais du genre a/ à aimer cuisiner b/ à avoir des amis c/ à les inviter à dîner, je me verrais bien leur servir ça. (En anglais)
7. « Désirer la violence: Ce(ux) que la pop culture nous apprend à aimer », de Chloé Thibaud. Qui n’a jamais jubilé devant la vengeance sanglante de Beatrix Kiddo dans Kill Bill? Fondu devant la rencontre d’Allie et Noah dans N’oublie jamais? Ri aux éclats devant Friends? Chanté à tue-tête devant Grease? À travers l’archétype du bad boy, les scénarios balisés des comédies romantiques, la profusion de baisers «volés», et même les dessins animés de notre enfance, ce livre nous plonge dans les eaux troubles de la pop culture pour révéler comment la fiction influence insidieusement nos comportements et nos relations amoureuses. En analysant les rouages de la narration, l’autrice démystifie nos fascinations et idées reçues, et met à nu les dynamiques toxiques qui s’étalent sur nos écrans. Comment les films et les séries parviennent-ils à nous faire apprécier des comportements douteux, voire illégaux, y compris dans la vie réelle? Comment nous inculquent-ils qu’il est normal d’aimer avoir mal ou qu’on nous fasse du mal? Comment nous apprennent-ils à désirer la violence Un essai percutant, émaillé d’exemples précis et ponctué d’analyses de spécialistes (historiennes, scénaristes, linguiste, psychanalyste, sexologue…), qui invite à une réflexion profonde et audacieuse sur les violences sexistes et sexuelles qui se cachent sous le vernis de nos divertissements préférés. Ma prochaine lecture de non-fiction, sur un sujet qui me passionne et me met en rage à la fois.
8. « Florida!!! ». Pour l’instant, ma chanson préférée sur le nouvel album de Taylor Swift. Comme j’adore Florence + The Machine, c’était un peu couru d’avance.
9. La gamme de cahiers et carnets illustrés par Gwenaëlle Trolez. Chaque fois que je tombe dessus en papeterie, j’ai envie de tous les emporter. Le Jules Verne! La forêt! Les carnets de voyage! Je les trouve tous sublimes.
10. Les bougies étincelles Wonder Candle. J’avais mis un petit coeur sur le gâteau d’anniversaire de Chouchou, et franchement ça donnait super bien!
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