10 things I love Wednesday #159

1. La version live de « I did something bad », que je regarde/écoute en boucle depuis 3 jours parce que je la trouve absolument phénoménale – le look, la chorégraphie, la voix, les jeux de lumière, tout est fabuleux. They’re burning all the witches even if you aren’t one… Hâte de voir le film du Eras Tour, et surtout de découvrir reputation (TV). (Message personnel: oui, B, tu es entièrement responsable de cette obsession.)

2. Will you regret not having a child? Un épisode du podcast Dinky avec l’activiste Marcia Drut-Davis qui, à 81 ans, possède tout le recul nécessaire pour répondre à cette question. Plus jeune, elle a perdu son emploi pour avoir osé dire publiquement qu’elle ne voulait pas d’enfants. Et malgré ça, elle n’a jamais regretté sa décision. Non que j’avais besoin d’être confortée dans la mienne, mais ça fait du bien d’entendre d’autres voix que celles qui prédisent aux nullipares une vieillesse solitaire et misérable. L’interview proprement dite commence à la 23ème minute. (En anglais)

3. Les tarifs postaux, un récit parodique de Balek terriblement bien vu et de plus en plus hilarant au fil des pages.

4. « Après Minuit T1: Trop de sel dans les pâtes » de Clémentine Mélois et Rudy Spiessert. Tout a commencé à cause de mon père, qui avait mis trop de sel dans les pâtes. Avec Romy, ma petite sœur, ça nous a donné soif au milieu de la nuit. Et là, on a entendu un bruit à côté, chez la voisine qui est aussi notre maîtresse d’école. On est allés voir (même si Romy est petite) et on a découvert que notre maîtresse était un loup-garou! Je peux vous dire que ça fait bizarre, un loup-garou qui porte une robe à fleurs et qui sent le parfum à la lavande. Mais ce n’était que le début, il faut que je vous raconte… Le premier tome d’une trilogie de romans très amusants pour les 6-9 ans. (Les deux autres sont déjà parus eux aussi.)

5. Ce puzzle Woodland Friends, qui semble en rupture de stock partout, mais qui donne envie de guetter les prochaines créations d’Esther Bennink.

6. La tournure Raven Duchess de Selkie, devant laquelle je bave depuis une semaine. Une créatrice qui l’a m’a dit qu’elle était merveilleusement légère et prenait très peu de place une fois roulée en boule. Mais je bloque sur les 150€ de frais de port, de TVA et de douane que la marque a l’honnêteté d’annoncer (et qu’il faut ajouter au prix initial, évidemment).

7. Memoli: le premier photobooth coréen vient d’ouvrir rue Poissonnière, à Paris, et ça a l’air super fun! Passage obligé lors de mon prochain séjour dans la capitale.

8. « La maison aux pattes de poulet » de GennaRose Nethercott: Séparés depuis l’enfance, Bellatine et Isaac Yaga pensaient ne jamais se revoir. Mais lorsque tous deux apprennent qu’ils vont hériter leur grand-mère ukrainienne, frère et soeur acceptent de se rencontrer. Ils découvrent alors que leur legs n’est ni une propriété ni de l’argent, mais une maison intelligente juchée sur des pattes de poulet. Arrivée de Kyiv, foyer ancestral de la famille Yaga, l’isba est traquée par une entité maléfique: Ombrelongue, qui ne reculera devant aucun acte de violence pour détruire l’héritage de Baba Yaga. Un conte de fées pour adultes plutôt cruel, qui bénéficie d’une excellente traduction française d’Anne-Sylvie Homassel. (L’isba de Baba Yaga est sans doute mon mythe préféré, et je suis toujours ravie quand un.e auteur.ice la prend comme sujet! Si vous partagez ma fascination, je vous recommande aussi l’envoûtant roman jeunesse « La maison qui parcourait le monde » de Sophie Anderson.)

9. Ma taie d’oreiller en soie. Je savais que beaucoup de femmes noires en utilisaient pour préserver leurs cheveux, mais il ne m’était pas venu à l’idée que ça puisse être utile aussi quand on n’a pas les cheveux crépus ou frisés. Et puis si. Ou en tout cas, ça fait vraiment une différence dans la texture des miens (ondulés-bouclés, mais surtout poivre-et-sel donc secs sur les longueurs).

10. Les pickles de brocoli du chef anti-gaspi Nabil Zemmouri. Peuvent s’utiliser comme substitut de cornichons dans les burgers.