1. « The lost flowers of Alice Hart ». En Australie, de nos jours. Lorsqu’une tragédie change à jamais sa vie, la jeune Alice part vivre dans la ferme horticole de sa grand-mère June, qu’elle ne connaît pas. Au sein d’une communauté de femmes au passé tout aussi douloureux que le sien, elle apprend à perpétuer la tradition familiale en utilisant le langage des fleurs pour remplacer les mots. Mais l’histoire des Hart est hantée par de nombreux secrets… Adaptation du roman à succès de Holly Ringland, cette mini-série en 7 épisodes vaut autant par son casting impeccable que par sa photographie sublime et son atmosphère envoûtante. Attention toutefois: elle contient de nombreuses scènes de violences domestiques. Sur Prime Video.
2. « Radically content ». Too many of us are waiting for our lives to begin, putting our happiness on layaway for some future version where it all lines up, when we’ve accomplished it all, when we have the perfect career, bodies, partners, and when our lives finally feel “good enough.” But what is good enough? Who gets to decide? And when do we ever reach it? Jamie Varon takes a sharp, incisive look at the industries that are constantly telling us to do more, be more, and keep striving, pushing, and hustling—and shows you how to radically opt out of societal conditioning. We’ve learned to be terrified of contentment, thinking it will lead us to complacency. Yet, being content in a world that profits off our dissatisfaction is not complacency: it’s revolutionary. Si je ne devais garder qu’un seul livre de développement personnel parmi tous ceux que j’ai lus au fil des ans, ce serait celui-là.Et si j’avais dû en écrire un moi-même, ce serait aussi celui-là. (En anglais seulement pour le moment)
3. Ce collier gland en argent et ambre dont j’attends très impatiemment qu’il revienne en stock chez Voriagh.
4. Caffè Batavia: à deux pas de la place De Brouckère, à Bruxelles, ce restaurant propose de la street food indonésienne dans une jolie salle lumineuse avec une terrasse à l’arrière. Nous y avons passé un moment agréable dimanche dernier malgré le service très lent qui nous a dissuadés de commander un dessert.
5. « Le restaurant des recettes oubliées » de Hisashi Kashiwai, traduit par Alice Hureau. Caché dans les ruelles de Kyoto se trouve le petit restaurant des Kamogawa d’où s’élèvent d’exquises odeurs de riz cuit, de nabe et de légumes sautés. En plus de savoureux repas faits maison, Nagare et sa fille Koishi proposent une expérience qui sort de l’ordinaire : reproduire un plat que leurs clients ont en mémoire, mais dont la recette est depuis longtemps oubliée. Nabeyaki udon, sushis au maquereau, tonkatsu ou spaghettis à la napolitaine… Pour chaque nouveau plat, la famille Kamogawa enquête et propose à ses convives de déguster une nouvelle fois les délicieux mets qui ont marqué leur vie. Et grâce à un soupçon de magie, ces saveurs perdues enfin retrouvées permettent de rêver à de nouveaux départs. Même s’il fait beaucoup penser au « Restaurant de l’amour retrouvé » d’Ito Ogawa ou au manga « La cantine de minuit » de Yarô Abe, ce roman reste une lecture très agréable pour les amateur.ices du genre.
6. L’app Nannybag pour vous aider à trouver des points de consigne près des gares bruxelloises ou dans 13 grandes villes françaises (dont Toulon et Toulouse).
7. Ce parfait short en jean de chez Madewell, avec plein de poches et des ourlets proprement cousus.
8. Les petites vidéos d’India Rose Crawford mettant en scène un couple de grenouilles tricotées. J’ai rarement vu quelque chose d’aussi mignon et attendrissant.
9. Mes nouvelles ballerines Fiona de Josef Seibel, ultra-confortables dès la première fois que je les ai portées pour marcher plusieurs heures d’affilée en ville. Je recommande très fort pour les pieds larges qui ne supportent pas ou plus les talons. (Je les linke en bleu car les noires que j’ai achetées semblent être en rupture de stock.)
10. La saison 2 de « Heartstopper ». Adaptée d’une série de romans graphiques d’Alice Oseman, cette série Netflix est probablement ce qui se fait de plus choupi en matière de représentation LGBT+. Dans la saison 1, Charlie, un ado gay harcelé au lycée, craquait pour Nick, un joueur de rugby populaire et apparemment hétéro. La saison 2 se centre sur leur relation tenue secrète tandis que Nick peine à faire son coming out bisexuel. J’adore tout dans « Heartstopper »: les deux héros adorables, l’absence de vrais méchants (tout au plus y a-t-il quelques crétins qui finissent par se rendre compte de leurs erreurs), la bienveillance de la mère de Nick, la bizarrerie géniale de la soeur aînée de Charlie, et surtout l’amitié magnifique qui lie le groupe d’ados. Fortement conseillé pour un jour où vous aurez le moral dans les chaussettes et besoin de regarder un truc chaudoudou.