1. Les vases et les mugs nichons de Flora in the garden. En vente aussi au popup shop d’helen b à Gand. Les tétons ressemblent à des ventouses de poulpe; j’adore!
2. « How to avoid comparison »: un chouette article de blog qui donne des trucs concrets pour éviter de jalouser les autres, de complexer par rapport à elleux et/ou de claquer des fortunes pour tenter de les égaler. (en anglais)
3. Les risottos en sachet de chez Dille & Kamille. Super pratiques à garder dans un coin de placard pour les soirs où le frigo est vide mais où estomac et moral réclament de la comfort food à grands cris. On a testé et approuvé celui à la truffe et celui au citron.
4. Cette capeline en paille très abordable. Parce qu’il va bien falloir trouver un truc pour protéger mon visage du soleil pendant les séances photo de cet été, et qu’un tricorne s’accorderait mal avec mes robes cottage core. Croyez bien que je le regrette.
5. La série de podcasts de France Culture sur la ménopause, en 4 épisodes de 55 mn chacun.
6. Le sel fumé islandais Norduro, vendu à Gand chez Sissy Boy. Oui, je l’ai acheté pour sa jolie boîte en métal embossé; non, je n’ai aucune idée de ce avec quoi je vais bien pouvoir le consommer. Des suggestions?
7. Les récits d’affaires criminelles de la journaliste Elise Costa. Aussi haletants et bien écrits qu’une fiction. A découvrir sur Slate en ce moment, la série « A la recherche des temps perdus » qui traite du meurtre de Cintia Lunimbu à Toulouse, en 2017, et de sa connexion inattendue avec une des dernières exécutions capitales en France dans les années 70.
8. Cette petite robe en coton vert Joanie Clothing. Je trouve qu’elle sent irrésistiblement l’été, au point que je pourrais presque fermer les yeux sur les boutons qui courent jusqu’en bas.
9. « L’Ode au chou sauté« . Paru dans la nouvelle collection Le Banquet de Philippe Picquier, ce roman culinaire suit 3 sexagénaires japonaises de caractères très différents, qui tiennent ensemble un restaurant de plats à emporter. J’aurais aimé que l’autrice se focalise davantage sur le rapport à la nourriture ou les souvenirs gourmands de ses héroïnes, dont la vie amoureuse m’intéressait un peu moins. Mais ça reste une jolie tranche de vie, proposée ici dans une traduction très plaisante.
10. Les masques FPP 2 ou 3. Ils coûtent cher, mais épousent les contours du visage de manière quasi-hermétique – et leur forme évite qu’ils se plaquent sur le nez et la bouche. Si vous devez faire un long voyage en train ou prendre l’avion avant d’être vacciné(e), je vous recommande vivement d’en porter un à la place d’un simple masque chirurgical. Hier, le mien m’a empêchée de commettre un meurtre dans un TGV bourré de connards qui revendiquaient avec virulence (et force postillons) l’inaliénabilité de leur droit à rester la truffe à l’air.
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Pour le sel fumé, je dirais juste pour accompagner de très bon légumes à la vapeur, avec une noix de beurre ou une giclée d'huile d'olive
Pour le sel fumé, juste des pommes de terre au fou.