Un réveil en douceur, avec le soleil.
Les dernières fraises de la barquette, avec le fond du pot de Câlin, en guise de petit-déjeuner.
Les photos du jour de l’Everyday Life Challenge que je regarde apparaître sur Instagram avec une curiosité toujours renouvelée.
L’éditrice qui veut déjà me préparer les contrats et me verser la moitié des à-valoir sur des bouquins à rendre en novembre 2015 et avril 2016.
Le rasoir qui glisse tout seul sur mes mollets grâce au D’Fluff.
L’éditrice qui veut déjà me préparer les contrats et me verser la moitié des à-valoir sur des bouquins à rendre en novembre 2015 et avril 2016.
Le rasoir qui glisse tout seul sur mes mollets grâce au D’Fluff.
La robe en coton Emily and Fin absolument parfaite trouvée en soldes sur Asos.
Le bracelet si léger qui ne me quitte déjà plus et qui fait très bien son boulot.
La température idéale, avec juste un poil de vent – j’aime tant le mois de mai!
L’explosion des coquelicots sur le bord de la route de campagne que suit mon bus.
Les sandales Lune et L’autre multicolores que je convoitais, et qui sont toujours disponibles dans ma pointure chez California.
Le manhwa repéré le mois dernier chez Contrebandes, épuisé partout ailleurs, et toujours blotti au chaud dans le rayon quand je viens le chercher.
L’accent ensoleillé de Paola quand je lui demande « un bouquin marrant pour un petit garçon ».
L’immense sourire de Marco qui vient me claquer deux bises, me conseiller un Frascati bien frais pour aller avec mon plat et m’expliquer l’épopée hebdomadaire de son livreur de mozzarella.
Les spaghetti au peccorino et au poivre, une pure tuerie que je pourrais manger tous les jours jusqu’à la fin de ma vie sans jamais m’en lasser.
Ce déjeuner en terrasse sous les arbres du petit cours Lafayette, un moment juste parfait.
Jade du Candyliciou Spa qui me reconnaît et m’appelle par mon nom (dommage qu’elle soit overbookée cet après-midi!)
Le serveur du Chantilly, aimable pour une fois.
Le confort des banquettes en velours vert pour lire 400 pages de bédé d’un trait.
Le moment passé à la Théière avec Kiki et sa fille, à philosopher sur le temps qui passe et sur ce qui est grave ou pas, à m’émerveiller sur cette gamine géniale que j’ai vue naître et devenir une presque femme.
La mini-expédition chez Charlemagne: partie acheter une souris correctrice, je ressors avec en plus un rouleau de masking tape, un stylo-gel blanc, un bloc de Post-It fantaisie et deux carnets (dont un pour offrir, quand même).
Le constat que je suis super bien à Toulon toute seule, que je suis super bien à Bruxelles avec Chouchou, et que c’est quand même vraiment chouette d’avoir les deux.
Le parfum lourd de mes sublimes pivoines framboise en train de se faner, si touchantes avec leurs pétales tremblants qui menacent de se détacher d’un instant à l’autre.
Le coucher de soleil qui teinte l’horizon de rose; chaque fois que je lève la tête de mon ordinateur, c’est un spectacle nouveau, un spectacle unique qui n’a lieu qu’ici et maintenant.
Le bonheur est partout et en tout.
Ce billet est peut-être mon préféré de tous ceux que tu as écrits… Magnifique et si juste! Passe une très bonne journée.
Waouh… on ressent beaucoup de calme et de plénitude dans ce post. C'est apaisant de l'autre côté de la lorgnette 🙂
Et merci pour l'ELC30, qui m'amuse beaucoup depuis le début de la semaine !
Je crois que j'adore ce genre de post
Plein de douceur
Et de simplicité
Moi j'aime me contenter de ce genre de bonheur simples (et futiles)
Ca me permet d'être bien dans mes pompes
Ou de relativiser les problème que je peux rencontrer
Merci pour ces petites phrases qui font du bien <3
La normande que je suis rentre de Toulon…La Fabbrica di Marco me manque déjà!
Ah, je suis ravie que ça t'ait plu aussi!