London shopping

Outre les trois objets de créateurs que je vous ai montrés ici, voici les achats que j’ai rapportés de Londres le week-end dernier: 

– Un flacon de gel douche Burt’s Bees à la menthe poivrée et au romarin: Pascaline, qui vivait alors aux Etats-Unis, me l’avait fait découvrir lors du swap beauté il y a plus de 2 ans, et depuis, j’en cherchais vainement à Bruxelles. Je suis plutôt savon à la base, mais l’odeur est divine et elle réveille terriblement bien! 
– Un pot de Gloomaway (crème soufflé pour le corps au pamplemousse) Origins: pareil, impossible d’en trouver en France ou en Belgique, et je raffole aussi bien de la texture que du parfum de ce produit, dont je viens justement de terminer le pot précédent acheté l’an dernier à Brighton. 
– Un assortiment de trois chocolats en poudre de luxe Whittard. J’aurais sans doute résisté si le blanc n’avait pas été en dégustation dans le magasin de Covent Garden au moment de mon passage. Mais là? C’était juste trop bon. 
– Des bricoles chez Paperchase, parce que leur gamme « Dreamscape » dont j’avais déjà un porte-cartes (acheté à Copenhague) et le note pad (offert par Rock’n’Laurette) est vraiment trop mignonne. Cette fois, j’ai craqué pour les masking tapes et deux mini-carnets – ainsi que quelques cartes postales, deux planches de puffy stickers, un assortiment de Post-It licorne et une mini-gomme licorne à mettre au bout d’un crayon papier. (Je ne veux pousser personne au crime, mais leur site internet livre en France.)
– Un livre: « We are all completely beside ourselves » (il faisait partie de la sélection « Buy 1, get 1 half-price » de W.H. Smith, et j’ai quand même réussi à ne pas en prendre un second car aucun ne me plaisait vraiment). 
– Deux magazines: le numéro de décembre de Mollie Makes (je ne suis plus abonnée, et le petit kit « breloque renard » vendu avec la version papier était juste irrésistible) et le dernier Oh Comely
– Deux robes achetées au marché couvert de Spitalfields pour £22 en tout – oui, c’est du pur synthétique et elles ne tiendront sans doute pas 10 ans, mais j’aime beaucoup les imprimés et elles me vont très bien.
Alors bon, au total, ce n’est pas rien, mais c’est beaucoup, beaucoup moins que ce que j’aurais rapporté il y a ne serait-ce que 5 ans. J’ai envisagé et rejeté au moins le double d’emplettes potentielles – plein de jolies choses à la Renegade Craft Fair, un mug Alice au Pays des Merveilles chez Whittard (j’avais dit qu’à partir de maintenant, je buvais mon thé dans des tasses), un sublime agenda 2015 chez Paperchase (parce que je me suis déjà équipée en la matière), un très beau tote bag renard au musée d’histoire naturelle (mais deux tote bags dans le week-end, ça aurait été un peu trop), un haut-de-forme en velours rouge sur le marché couvert de Spitalfields (quand est-ce que je l’aurais mis, à part peut-être aux Imaginales et pour Trolls & Légendes?), le livre « Sherlock: Chronicles » (mais soyons honnête, c’était surtout parce que je ne voulais pas le trimballer: je le commanderai sûrement sur Amazon d’ici Noël), ainsi qu’un très beau Cthulhu en peluche (rétrospectivement, je le regrette un peu) chez Forbidden Planet. J’ai volontairement évité de mettre les pieds chez Topshop et autres antres de la tentation vestimento-accessoiresque, ainsi que dans les grands magasins genre Harrod’s ou Selfridges, et dans le flagship store Paperchase de Tottenham Court Road où j’aurais sans doute fait un massacre. Au final, je trouve que je ne m’en tire pas si mal: la plupart de mes emplettes relèvent de la catégorie « consommables » et ne moisiront pas longtemps dans mes placards!

2 réflexions sur “London shopping”

  1. Cet été, on n'avait pas de théière dans notre Airbnb, on a donc cherché "la plus moche théière du monde et la moins chère" dans les charity shops, histoire de ne pas s'attacher. Évidemment, la moins chère… était en plus potable (une théière du Musée des Transports). On l'a donc ramenée. (Elle est totalement incontinente, ce qui explique sans doute le don. Mais on l'aime.) À part des souvenirs immatériels, on a rapporté peu de choses de ces 6 semaines (bon, on était aussi coincé par le principe de réalité, avec les 1200 pages de questionnaires remplis pour ma recherche, à rapporter…). Boots livre en Belgique, hum hum hum hum 😉

  2. J'ai adoré "We are all completely beside ourselves", probablement le meilleur roman lu en 2014, j'attends avec impatience qu'il soit traduit pour le partager avec mes amis non anglophones.

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