
Je vous avais déjà parlé du « Happiness Project » de Gretchen Rubin. Bien que l’auteur et moi soyons très différentes (elle déteste le shopping mais adore les sucreries et le sport…), je reste intéressée par sa méthodologie. Et un peu jalouse qu’elle ait pensé avant moi à monétiser sa recherche de bonheur – quel boulot de rêve! Dans son nouveau mémoire, elle se fixe de nouveau un domaine sur lequel travailler chaque mois, en rapport avec le thème du foyer cette fois.
Honnêtement, je n’ai pas vu une grosse différence avec le « Happiness Project ». Mais j’ai été intéressée de voir que Gretchen Rubin échouait elle aussi dans certains de ses projets, et qu’elle n’en faisait pas une maladie. Qu’elle partait comme moi d’une attitude souvent désagréable envers autrui, ou négative vis-à-vis de son existence en général, et qu’elle parvenait à obtenir de vrais résultats en travaillant dessus. Que malgré des intérêts aux antipodes des miens, elle et moi retombions sur les mêmes vérités fondamentales: personne n’est responsable de notre bonheur hormis nous-mêmes; pour être heureuses, nous devons suivre nos propres désirs plutôt que d’obéir aux attentes d’autrui, être présentes dans l’instant et cultiver la gratitude pour tout ce que nous possédons. En gros: ce livre ne m’a apporté aucune grande révélation, mais il a fait office de renforcement positif de ma démarche, ce qui n’est déjà pas si mal.
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J'ai acheté le premier de ses livres et j'essaie d'appliquer certains de ses principes comme les objectifs à atteindre, mais je sais que l'unique chose qui me rendrait vraiment heureuse c'est de trouver le courage de démissionner d'un boulot qui me donne envie de passer sous un camion. Et là, pas de recette miracle à part prendre son courage à deux mains et faire le grand plongeon.