Flunkyball was a monthly event, a monthly competition, a monthly fight.
Take different teams with four of five players. Give them a nice impressive name, like Baldi’s angels, Potatoes or Booze Specialists. Now, you have one team of each side of the field, and around twenty empty cans of beer in the middle. A player throws the « ball » to hit the cans in the middle of the field. If he hits them, the other team must replace it as fast as possible. During this tile, the team of the thrower must drink its full can of beer ( 50cl, more than 4,5%). when all the cans are replaced and players have left the field, everybody stop to drink, and the other team throw the « ball ».
Winners are those who drank first the entire can…
Street art in Reykjavik (avec du slim violet inside)
Dans le centre de Reykjavik, on trouve du street art littéralement à tous les coins de rue et au fond de chaque impasse. Pour la plupart, il s’agit de fresques de graffiti colorés:
Les artistes doivent avoir carte blanche de la municipalité, car ils oeuvrent en plein jour et sans se cacher:
Il existe à deux pas de Laugavegur (la principale rue commerçante) une place étonnante: un terrain vague dont aucun mur ne demeure nu, et que les étudiants Erasmus de la promo 2009/2010 ont surnommé « Flunkyball Stadium »:
This place is the residence of the spirit of each erasmus student of the 2009/2010 academic year.
Nous y avons découvert notre première géocache islandaise, et je me suis amusée à poser avec mon nouveau slim violet.
Outre les graffiti, on peut admirer des créations à base de morceaux de miroir dont certaines , par un procédé étrange et mystérieux, changent perpétuellement de couleur (désolée, ça ne se voit pas très bien sur les photos!).
Nous avons également rencontré un exemple d’urban knitting dans Laugavegur:
Enfin, j’espère que vous partagerez notre perplexité face à cet étendage de soutiens-gorge. J’avais déjà vu des chaussures nouées par les lacets ainsi suspendues, sans jamais réussir à comprendre pourquoi. S’agit-il ici d’une manifestation contre le cancer du sein? Aucun des autochtones interrogés n’ayant pu me fournir de réponse, toutes les explications restent envisageables.
Mais à Reykjavik, le street art ne se limite pas au mobilier urbain statique. Nombre de véhicules sont également décorés de graffiti.
Même si je suis loin d’apprécier tous les motifs, j’ai beaucoup aimé cette débauche de créativité et de couleurs!
J'adore ! Cela me donne vraiment envie de visiter l'Islande à mon tour !
(Le slim violet te va très bien.)
Bises
Isa
C'est superbe!
Merci pour ces photos, c'est une chouette balade que nous avons fait grâce à ce post !!
Ah la la,ça fait envie!!!
ANNESO