
– Mon syndic a une nouvelle secrétaire. Qui s’exprime poliment, sans soupirer toutes les trois syllabes. Mieux encore: suite au coup de fil que je lui ai passé mercredi après-midi pour savoir où en était mon histoire de fourmis, un spécialiste du traitement des toitures m’a appelée jeudi matin. Je lui ai expliqué la situation; il m’a dit que du coup il n’avait pas besoin de visiter mon appartement et qu’il se rendait immédiatement à la résidence pour voir s’il pouvait accéder aux combles ou s’il devait réclamer une clé au syndic. Et puis il a promis de me tenir au courant. J’ai failli en pleurer de bonheur. Dieubouddhallah est grand (bien qu’un peu long à la détente sur ce coup-là).
– J’ai attaqué la traduction du douzième tome de Série Préférée, un joli pavé de 660 grandes pages écrit serré auquel j’ambitionne de faire la peau en deux mois et demi malgré une surabondance de scènes de sexe bien elliptiques qui risquent de me donner du fil à retordre. Une journée de travail normale telle que je l’ai définie pour l’occasion produit un peu plus de 50 000 signes français (52 800 hier). Glups. Va pas falloir mollir en chemin. Les fans attendent la sortie du bouquin, et j’ai des factures de véto à payer, plus la SNCF et diverses compagnies aériennes à engraisser. L’été 2010 sera studieux, qu’on se le dise!
En général toutes ces petites choses font un bien fou au moral 😉
Et chouette aussi, encore une bonne adresse à tester!
Les choses sont tout de suite plus simples quand on a affaire à des personnes qui font correctement leur travail ! Mais je trouve que c'est de plus en plus rare, du coup, je trouve ça extraordinaire quand je tombe sur quelqu'un de compétent.
Quant à la nourriture, c'est souvent vers elle que je me penche quand j'ai un coup de mou. On va tout de suite mieux avec un bon petit plat dans le ventre…
Emilie ah oui, le Yamato est unique dans son genre sur Bruxelles, un vrai bar à ramen à la japonaise (avec tout ce que ça comporte en matière d'exiguïté et de rapidité du repas, hein)
Cécile: ne m'en parle pas, la seule et unique fois où je suis tombée sur quelqu'un de compétent et d'aimable à mon centre des impôts, j'ai failli lui envoyer des chocolats tellement j'étais éperdue de reconnaissance. C'est quand même terrible…
Hi hi, j'a eu exactement la même réaction que toi avec une fille d'une agence de voyage qui, au final, n'avait fait que son boulot. Mais elle l'avait bien fait !