Pour autant, je ne vais pas partir sans aucune préparation. J’ai déjà recensé les endroits que je veux découvrir ou auxquels j’aimerais retourner, et prévu trois excursions à la journée hors de Tokyo – il ne sera pas dit que nous ne rentabiliserons pas nos Japan Rail Pass.Voici à quoi ressemble ma « to do list » pour le moment:
Retourner:
– au musée Ghibli (mais ne pas hésiter à acheter des goodies ailleurs si nous en voyons qui nous plaisent, car sur place la boutique ne propose qu’un choix limité)
– au musée d’art contemporain Mori, en espérant que l’expo principale ne sera pas consacré à un artiste français cette fois!
– dans les jardins du palais impérial que Chouchou ne connaît pas encore: un lieu parfait pour s’exercer au dessin de fleurs et d’arbres, confortablement assis sur un banc
– au marché au poisson de Tsukiji (en profitant du décalage de notre horloge biologique, les premiers jours, pour y aller le plus tôt possible un matin)
– à Takeshita-Dori pour sa faune hallucinante
– au Kiddy Land d’Omotesando, pour retomber en enfance
– chez Junie Moon, sublime magasin de Blythe situé dans Shibuya (et reprendre un taxi pour y aller afin d’économiser nos pattes)
– chez Animate pour faire le plein de mangas érotiques
– au Tokyu Hands d’Ikebukuro et l’Ito-Ya de Ginza pour m’adonner à ma passion coupable de la papeterie, fantaisie ou non
– au petit bar à sushis et au resto familial de soba situés non loin du ryokan, qui ne doivent pas voir passer de touristes souvent à en juger l’étonnement avec lequel on m’y a accueillie les fois précédentes
– à Namja Town pour nous goinfrer de gyozas à l’ail qui nous feront une haleine méphitique
– dans les deux galeries couvertes et parallèles dont j’oublie toujours le nom (compliqué), mais qui sont remplies de boutiques à merdouilles géniales, à Kyoto
Découvrir:
– un bar à thème avec décors hallucinants et serveuses déguisées
– le Hard Rock Café de Roppongi (j’ai déjà fait deux fois celui de Ueno-Eki; il faut changer un peu)
– le parc de Ueno ou celui de Yoyogi, les poumons verts de la capitale nipponne
– un des parcs d’attractions proches de Tokyo – j’hésite entre le Disneyland (connaissant bien celui de Marne-la-Vallée, j’ai peur de ne pas voir grande différence) et le Sanrio (qui me fait craindre l’overdose de rose pâle et de chats à noeud-noeud)
– les fameux lacs depuis lesquels on a paraît-il une vue superbe sur le mont Fuji (à condition de trouver un train qui nous y emmène)
– Kamakura et son célèbre Bouddha géant
– le quartier traditionnel d’Higashiyama et ses maisonnettes de bois, à Kyoto
Comme vous voyez, la liste est déjà longue et Chouchou n’y a pas encore ajouté les dizaines de vieux machins en pierre ou en bois (temples, forteresses…) dans lesquels il aimerait me traîner. La négociation s’annonce âpre.
Un fameux programme ! Si tu veux, je te mettrai en contact avec des amis qui ont déjà été plusieurs fois au Japon aussi et qui auront à mon avis de bonnes idées…
Oh la la il y a un parc d'attraction Sanrio !! Mais il faut que j'aille au Japon rien que pour ça 🙂
Ne manquez pas la Fête des cerisiers en fleurs au Ueno park (par ex) alors, prendre un panier et déjeuner sous les arbres en fleurs, un grand rituel.
Une visite au Tsukiji Fish market de Tokyo s'impose, le matin (avant 9h00) c'est le plus grand marché de poissons d'Asie, 22 hectares, on y déguste toutes sortes de poissons inconnus séchés, crus, fumés, frits, en soupe, en brochettes… dans des sortes de petites gargotes.
Je pense que quand nous arriverons, la floraison des cerisiers sera déjà terminée.
Quant à Tsukiji, j'y suis déjà allée, et j'aime pas le poisson 😀 Mais je voudrais bien essayer d'en dessiner.
Rhaaa… Japon! Moi y retourner vouloir! 😀
Je veux même bien aller faire les vieux machins avec Chouchou pendant que tu t'adonnes au shopping. 😉
Ah mais non, Chouchou est ravi de faire du shopping avec moi; il aime beaucoup! Par contre moi, les vieux machins… Pfffff…
Je en sais pas si tu consultes parfois des blogs culinaires. Mais ce blog-là devrait t'intéresser…
http://mingoumango.blogspot.com/2009/08/fin-du-voyage-la-frayeur-de-ma-vie-des.html