
L’inconvénient de vivre avec un fou de cinéma plutôt qu’avec un
Ainsi hier soir, j’ai perdu deux heures de ma vie que je ne récupèrerai jamais à somnoler devant les aventures d’un postier anglais dépressif qui voit son footballeur préféré lui apparaître pour tenter de le remettre sur les rails de la vie à coups de proverbes foireux. Eric Cantona en Paolo Coelho du prolétariat grand-breton, ça aurait pu être drôle, mais c’est juste poussif. Et malheureusement, un long numéro de cabotinage qui ne s’interrompt que pour laisser la place à une intrigue ridicule ne suffit pas à faire un film.
Oh, comme je regrette d’avoir attendu 24h de trop pour aller voir « Coraline »…
Je présume que c'est ce que doit ressentir Chéri en m'accompagnant ;-)))
J'adore ken Loach, jusqu'à présent il ne m'a jamais déçue. Est ce que je vais l'être ?
Plusieurs séances de rattrapage cinématographique sont au programme du ouikainde.
J'hésitais grandement. Tu m'as convaincue de ne pas y aller !
C'est la fête du ciné ici; j'y retourne ce soir et demain. Si je vois un truc digne de dépenser 10€ pour une place, je vous le dirai.
Contrairement à toi, j'ai adoré. J'ai été touchée par cette histoire, émue parfois. J'ai ri aussi.
J'ai trouvé l'idée de faire passer cantona pour un "guide" vraiment bien trouvée. Et qu'il ait fait preuve d'autant d'autodérision est vraiment remarquable.
C'est une très bonne surprise à laquelle je ne m'attendais pas du tout.