– La saison 1 de « Gossip girl », parce que je ne dédaigne pas un petit plaisir coupable de temps en temps. C’est clair que ça ne fait pas mal à la tête, mais passé le pilote un peu laborieux, la série trouve son rythme et acquiert un humour féroce du meilleur goût. On en viendrait presque à éprouver de la pitié pour les gosses de riches de l’Upper East Side: leur vie a l’air d’un compliqué!
– Le Philadelphia: sorte de Saint-Moret belge, encore meilleur que son équivalent français. Acheté en barquette familiale et généreusement tartiné sur un bagel le matin, est probablement responsable d’une grosse partie des 5 kilos excédentaires que j’ai emmagasinés à l’insu de mon plein gré cet hiver. S’est donc vu banni (avec un immense regret) de notre frigo à l’approche des beaux jours.
– Les records battus par « Le rose et le noir », avec 48 messages ce mois-ci et un pic d’affluence à 434 visiteurs uniques dans la journée du dimanche 22. La plupart des blogs s’essoufflent au fil du temps; le mien n’a jamais été aussi foisonnant qu’à la veille de son 4ème anniversaire (et du 5ème anniversaire de mon arrivée dans la blogosphère avec le défunt « Le temps n’est rien »).
– Les sous-pulls: enfant, je les tenais pour une invention du diable justifiant à elle seule la destruction de toutes mes photos d’écolière. Aujourd’hui, je vis dans un pays où l’hiver dure 9 mois, et arrive un moment où je me lasse même de mes jolis pulls en cachemire, un moment où je veux recommencer à porter des tuniques et des hauts sans manches. Jusqu’ici, je n’ai pas trouvé d’autre solution que le recours aux sous-pulls pour éviter de trépasser de froid. Simplement, je les ai achetés noir, gris ou rose pâle plutôt que bleu marine, vert sapin ou bordeaux comme ceux qui m’ont traumatisée jadis.
– « Un bonheur insoupçonnable », petit conte philosophique de Gila Lustiger à la traduction impeccable (croyez bien que je remarque ces choses-là) et aux illustrations pleines de charme. Une merveille de douceur et de tendresse dans ce monde de brutes. Par contre, je n’ai pas adoré les très longues notes de fin de chapitre qui obligent à des aller-retour perpétuels; j’ai bien conscience qu’elles sont là pour créer une atmosphère intimiste d’appartés, mais aurais apprécié que l’auteur trouve le moyen de les intégrer au texte principal.
Espérons que le bilan positif du mois à venir sera aussi rempli (voire plus). J’ai découvert ton blog y’a peu (en venant de chez Hélène). J’y ai passé pas mal de temps dimanche alors que j’étais censée bosser…Quand je ne suis pas trop motivée pour travailler, j’ai tendance à toujours trouver autre chose à faire ! En tous les cas, je voulais juste te dire que je me suis trouvée bien « chez toi ».
A très bientôt !
Le savon de marseille assèche et abîme les poils des pinceaux d’art en rien de temps, alors pour le pinceau MAC…
Katell: bienvenue à toi!
Anonyme: c’est pourtant ce que recommandent tous les maquilleurs pros pour nettoyer les pinceaux en poils naturels (ou synthétiques d’ailleurs).
Salut armalite,
juste un petit mot pour te dire que le philadelphia n’est pas une sorte de St-Môret belge… c’est LE cream-cheese US pour faire le fameux NY cheese-cake original !!!! C’est le fromage que les blogueuses culinaires françaises pleurent de ne pas trouver partout… Bref, profite de ta chance 😉
Et sinon, je plussoie à mort pour le savon de marseille et les pinceaux à make-up… mais j’ai trouvé encore mieux… le savon d’alep, mes pinceaux n’ont jamais été aussi « neufs », c’est un plaisir !
Funambuline: voilà une info qu’elle est intéressante! Pour une fois qu’on est mieux loties en Gelbique qu’en France! (enfin, surtout mieux lotie en kilos dans mon cas, mais bon)
Merci pour l’accueil, Armalite !
Pour moi aussi, Philadelphia est américain et je desespère (j’exagère légèrement là) de ne pas en trouver. Cela me rappelle mes séjours aux Etats-Unis et mes en-cas constitués de bagels grillés et de Philadelphia…
Touchée ! Vous m’intriguez avec votre Philadelphia.
Il me semble l’avoir vu à la Grande Épicerie ( à côté du Bon Marché).
La prochaine fois que j’y passe, je le chercherai et vous mettrai un petit mot ici, pour infirmer ou confirmer sa présence. J’y étais samedi et ai remarqué une gondole de produits laitiers étrangers.
Je travaille le St Moret tous les jours dans mes recettes perso. Je suis curieuse de goûter un fromage qui serait meilleur que ce dernier…
Je suis tombée sur le site de la société Kraft qui distribue le fameux fromage en Amérique du nord, on y trouve un nombre incalculable de recette de cheesecakes -Miam –
Avez-vous goûté les merveilleux cheesecakes US de « Baker and Roses » jouxtant le jardin du Luxembourg ?
Gabrielle: non, mais je tâcherai d’y aller lors de mon prochain passage à Paris!
Rectification, c’est : « BREAD AND ROSES » 7 RUE FLEURUS 75006 PARIS.
Et non loin de là, ne partez pas sans avoir goûter les choux à la crème les meilleurs du monde chez SADAHARU AOKI 35 rue de Vaugirard, 75006 PARIS pâtissier japonais formé en France, et ses éclairs au thé matcha…;-)
Argh, j’ai intérêt à me mettre à la diète une semaine avant si je comprends bien! 😉
Voilà quelques temps que je traîne ici, en cachette !
Un petit mot pour te dire que j’aime bien ton chez toi ;-))
Ahhh, les traductions, c’est souvent ce qui me rend « méfiante » avec les romans étrangers. Mais dernièrement, j’ai lu un fabuleux roman (qui date hein, c’est pas récent 1931)traduit dans un français magnifique. J’aurais presque appris des passages entiers pour le plaisir…
Quant au savon de Marseille, je plussoie 😉
Ca me fait plaisir que tu te manifestes, Cécile. D’autant plus que ma soeur vient de poster son premier message sur MBDF et que ça m’a fait penser à Delphine et toi 😉
Oui, j’ai vu le comm de ta soeur et moi aussi j’ai pensé à la même chose !
Je confirme, il y a bien du fromage PHILADELPHIA light et normal à La Grande Épicerie de Paris…. Oufff ! 😉