Rapport du front belge

Après le grand magasin le plus déprimant du monde civilisé, j’ai aujourd’hui eu droit au cheeseburger le plus infâme que j’aie mangé de toute mon existence (ce qui n’est pas une mince affaire sachant que j’ai bossé chez McDo et chez Quick dans ma jeunesse). Pas l’ombre d’un demi-gramme de viande de boeuf dans le steack haché. Pas l’ombre d’un demi-gramme de viande tout court, d’ailleurs – ou alors, d’aucun animal connu de moi. Dans le meilleur des cas, c’était un aggloméré de sciure à l’huile. Et les frites qui allaient avec étaient juste correctes. Heureusement que « Chez Antoine » est censé être la meilleure friterie du pays dont la frite est la spécialité. Ca ne m’a pas empêchée de passer un moment exquis avec Hawk à l’Espérance, le café dans lequel nous nous sommes réfugiés pour manger devant un vrai Coca en bouteille de verre. Mais ça m’inquiète un peu quant à ce qu’il va bien pouvoir inventer demain pour se surpasser.

Sauf exception, les commentaires sont désactivés. Si vous voulez poursuivre la conversation, je vous invite à le faire sur la page Facebook du blog.

3 réflexions sur “Rapport du front belge”

  1. Demain, c’est merveilleux, je t’emmène à la wasserette. Tu m’aimes toujours?

Les commentaires sont fermés.

Retour en haut