Finalement, je n’ai pas regretté de m’être laissé traîner. D’abord parce que nous sommes arrivés peu de temps après l’ouverture du musée (11h) et que c’était vraiment très sympa de visiter tout seuls, en pouvant faire les andouilles autant qu’on voulait. En effet, les photos bidouillées où je figure en trois exemplaires m’obligent à courir dans tous les sens plusieurs fois d’affilée jusqu’à obtention d’un bon résultat, ce qui n’est pas simple en présence d’autres visiteurs. Je me fiche de passer pour une cinglée, mais je déteste déranger les autres.
Ensuite, j’ai beaucoup apprécié le travail de Laurent Durieux qui occupe les 2ème et 3ème étages du MIMA. Même avec ma culture cinématographique minable, j’ai pu resituer la plupart des affiches de films et voir de quelle façon elles mêlaient les éléments essentiels de chaque histoire. J’ai encore davantage apprécié les parties « Tourisme » et « Rétrofuturisme » qui présentaient d’autres facettes de l’oeuvre de Laurent Durieux, toujours avec un même style graphique. A la sortie, nous avons même acheté ce livre à la boutique du musée.
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ça me donne très envie d'y aller!
(blogger censure des photos? réellement? je l'ignorais..)
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