MOI: Tu as l’air contrarié, mon coeur. Que t’arrive-t-il?
CHOUCHOU, les sourcils froncés et le ton théâtral: Je suis emporté par un tourbillon de sentiments contradictoires.
MOI, sans me troubler: Houlà, à ce point? Au sujet de quoi?
CHOUCHOU, le visage fermé: De manière générale.
MOI: Mais encore?
CHOUCHOU, marmonnant dans sa barbe: En fait, je crois que j’ai chopé la crève.
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Impossible ! Un homme malade ne peut pas tergiverser, au mieux il defaille 😀
Bisous nad 😉