
J’avais lu tellement de bien de ce roman de la Canadienne Susin Nielsen que je m’attendais à être déçue par sa lecture. Et puis, pas du tout: grâce à sa collection de personnages bancals mais hyper-attachants, ainsi que son juste équilibre entre drame et espoir tempéré par une bonne dose d’humour, « Les optimistes meurent en premier » mérite largement tous les compliments qui lui ont été faits. Pétula (que sa mère surnomme « Pétouille ») a un sens de l’auto-dérision hilarant, rendu à la perfection par une traduction si dynamique qu’on croirait que l’auteure a écrit directement en français, et on regrette beaucoup de la quitter après 200 pages seulement. Un délice à mettre entre toutes les mains.
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J'avais beaucoup aimé "Le journal malgré lui de…"; je n'entends que du bien de celui-ci aussi.
C'est une excellente traductrice, comme il y en a trop peu, je pense. Comme en plus elle traduit des bouquins chouettes, inutile de bouder son plaisir.