Julius, le père bien-aimé qui l’avait élevée seul, vient juste de mourir, et Emily se sent le devoir de reprendre la librairie qu’il avait créée. Hélas, si Nightingale Books est devenu un lieu incontournable dans leur joli village des Cotswolds, elle perd beaucoup d’argent, et un promoteur local insiste pour en faire l’acquisition. Ecrasée par l’ampleur de la tâche, Emily s’interroge sur son avenir tandis que défilent devant elle des clients pour qui Julius était, bien plus qu’un simple commerçant, un passeur et un ami très cher…
En ce moment, j’ai besoin de livres-doudous qui font chaud au coeur, et malgré son titre un peu cucul, « La petite librairie des gens heureux » (en VO: « How to Find Love in a Bookshop« ) était exactement ce qu’il me fallait. Si quelques romances naissent effectivement dans ses pages, l’histoire est bien davantage centrée autour du deuil d’Emily, des problèmes de ses clients et du pouvoir transformateur de la littérature. Le paisible village de Peasebrook offre un cadre idyllique à l’action, et ses habitants sont si adorables qu’on se surprend à vouloir emménager là pour toujours, au sein de cette communauté chaleureuse et accueillante. Si vous avez lu et aimé Maeve Binchy ou Erica James, vous devriez adorer Veronica Henry.
Merci pour ce titre, il me tente bien dans le style "feel good book" 🙂
Ce titre me tente bien aussi ! Je me suis dernièrement fait avoir avec un roman que je pensais "doudou" et qui était en fait un concentré de mièvrerie et de situations toutes plus improbables les unes que les autres, bref, quand je cumuule les navets comme en ce moment, c'est dur ! (au fait mon livre navet, c'était La petite boulangerie du bout du monde")
Hé bien figure-toi que je l'avais vraiment bien aimé, moi, "La petite boulangerie…" 😀
Ah bon ?? Comme quoi ! Non, à part le macareux, et les descriptions de l'odeur du pain (qui m'ont fait prendre 10kg), je n'ai rien aimé…