
D’un côté, il y a une belle écriture qui donne merveilleusement corps à l’atmosphère de Londres à la fin du XIXème siècle et qui transporte instantanément le lecteur dans les coulisses de Sinclair’s, grand magasin au raffinement inouï que toute accro du shopping rêverait de visiter. De l’autre, il y a malheureusement une intrigue cousue de fil blanc et d’invraisemblances grossières, qui ne nous épargne aucun des poncifs du genre tels que définis par « Le club des 5 » ou « Alice détective ». Planter un si beau décor pour faire s’y dérouler une histoire si ridicule, c’est un véritable gâchis. « The Mystery of the Clockwork Sparrow » pourrait sans doute plaire à des pré-ados n’ayant pas encore lu beaucoup de policiers jeunesse, mais c’est à peu près tout.
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