Les vacances à Toulouse, que je redoutais depuis des mois, se sont finalement assez bien passées. Bien sûr, ça ne sera plus jamais pareil qu’à l’époque où mon père était en vie, où on logeait chez ma soeur et où on faisait coïncider notre séjour avec ses congés pour profiter au maximum de tout le monde. Disons que nous avons tiré le meilleur parti de la situation telle qu’elle est aujourd’hui, avec notamment trois repas en famille (qui n’ont pas dû faire de bien à ma ligne, mais c’était pour la bonne cause), deux escape games (réussis qui plus est) et un après-midi consacré à mes neveux. Maintenant qu’ils sont plus grands, je commence à les apprécier en tant que personnes, à savoir de quoi discuter avec eux et à prendre un vrai plaisir à leur compagnie. Ca, c’est particulièrement chouette.
Pour le reste: nous nous sommes couchés trop tard et levés de même, il y aura du recadrage horaire à effectuer dès lundi! Nous avons mangé du bibimbap, des glaces Octave et O Sorbet d’Amour, des burgers deux fois, du canard deux fois, et de délicieuses pâtisseries préparées par Attila (le futur Michalak?). Je n’ai pas fait de fitness de toute la semaine, et réussi à atteindre les 10 000 pas quotidiens seulement un jour sur deux: Jillian va donc redevenir ma meilleure amie dans les semaines à venir. Je n’ai pas lu autant que je l’imaginais, seulement deux romans complets (mais des biens) plus deux demi-romans, et je n’ai pas touché à « Essentialism ». J’ai regardé des vidéos TED les quatre ou cinq premiers jours seulement, puis j’ai oublié ou pas eu envie, ce qui n’est pas bien grave.
Il n’a pas fait très beau, donc pas de baignades dans la piscine de ma soeur, mais ça ne nous a pas empêchés de nous promener comme prévu (l’avantage d’être endurcis par la météo belge!). En plus de passer du temps avec ma famille, nous avons vu Nekkonezumi deux fois et fait un délicieux dîner chez JCD un soir de pluie. J’ai réussi à ne pas m’écharper avec ma mère – même si j’ai parfois dû me mordre sérieusement la langue. Les tournesols étaient déjà fanés dans les champs alentours, mais au chapitre « jolies photos », nous nous sommes rattrapés durant un tour de grande roue. En résumé, même si les conditions n’étaient pas idéales, je vais rentrer contente de mes vacances. Pas très sereine, car nous avons laissé à Bruxelles de sérieux problèmes qu’il faudra bien résoudre d’une façon ou d’une autre. Mais au moins, j’ai l’impression d’avoir ramené la paix dans mes relations avec ma famille, ce qui m’ôte un gros poids du coeur.
Coucou ! je suis heureuse pour toi ! Avoir le cœur léger, c'est tellement bien ! C'est important d'avoir des relations de famille harmonieuses. Ce n'est pas toujours possible bien sûr, mais quand ça l'est, autant garder le meilleur. Bises !
Et moi je suis vraiment contente qu'on ait grossi et fait la roue ensemble, mes petits paons d'amour. Bon retour à la maison !
Hey! Oh moi aussi la vérité je suis contente pour toi, ça fait bien chaud au coeur ma foi. Tchouss!