CHALLENGE MINIMALISTE #1: Demandez-vous… pourquoi vous accumulez les choses

Avant de vous proposer de jeter ou de donner quoi que ce soit, je vous suggère de réfléchir aux raisons pour lesquelles vous avez laissé vos affaires s’accumuler jusqu’ici. Les raisons peuvent être multiples:
1. Tendance au shopping compulsif. En voilà une que j’ai beaucoup pratiquée! Sauf que passéel’excitation éphémère de l’achat, je sombrais dans une espèce de déprime coupable, et que mes emplettes (des vêtements, en général) finissaient au fond de ma garde-robe, d’où je les exhumais parfois des années plus tard toujours porteurs de leur étiquette. Quel gaspillage… Et comme ça représentait beaucoup d’argent, j’avais des scrupules à m’en débarrasser. Du coup, je continuais à les « payer » psychologiquement alors que ça aurait été bien plus intelligent de les revendre ou de les donner. J’ai fini par me soigner de cette addiction en la remplaçant par d’autres activités: désormais, si j’ai du temps libre et envie de sortir, je vais lire dans un salon de thé, faire du geocaching ou une balade photo.  
2. Peur de manquer. On peut avoir connu la guerre ou la pauvreté et en être resté traumatisé; j’espère que ça n’est pas le cas de la plupart d’entre vous. De façon moins extrême, il m’est arrivé d’accumuler des choses qui me plaisaient « au cas où ». Au cas où quoi? Au cas où le fabricant arrêterait de les produire – ce qui peut arriver, mais vivant dans un endroit civilisé et possédant une connexion internet, j’arriverai toujours à me procurer un équivalent satisfaisant. Au cas où je me retrouverais fauchée du jour au lendemain – alors qu’il serait bien plus malin de mettre des sous de côté dans cette perspective, parce que peu de propriétaires accepteraient douze paires de bottines en paiement d’un loyer. Bref, une raison qui ne résiste pas à un examen logique. 
3. Philosophie du « ça peut toujours servir ». Mon grand-père, qui n’était pas fauché et vivait quasiment en auto-suffisance grâce à son jardin, conservait le moindre pot de yaourt et le moindre emballage plastique. Après sa mort, il a fallu en éliminer des centaines. Alors que s’il avait eu besoin d’un pot de yaourt ou d’un emballage plastique, il aurait pu s’en procurer au supermarché le plus proche moyennant une somme ridicule, plutôt que de collectionner des détritus sans valeur. On en revient à ce que je disais précédemment: si un jour, quelque chose vous fait vraiment défaut, vous pourrez toujours vous le procurer. En attendant, dégagez votre espace vital et respirez un grand coup. 
4. Tempérament collectionneur. Beaucoup de gens sont attirés par un type d’objet précis qu’ils tendent à accumuler – pour moi, ce sont les chaussures, les carnets, les théières et les livres. Ne vous laissez pas envahir par vos collections. Soyez exigeant. Ne gardez que les pièces vraiment belles ou vraiment utiles, la crème de la crème, et faites circuler les autres. Ou fixez-vous un nombre limite, et une fois ce nombre atteint, pratiquez la technique du « 1 in, 1 out » – si une pièce rentre, une autre doit sortir. 
5. Multiplication d’activités nécessitant beaucoup de fournitures ou du matériel encombrant. Ca aussi, j’ai beaucoup, beaucoup donné, entre mes multiples activités sportives et ma pléthore de loisirs créatifs. La solution? Se débarrasser de tout le matériel dont on ne s’est pas servi depuis un laps de temps donné. A moins d’être rentier, PERSONNE n’a le temps de pratiquer douze activités de loisirs en parallèle, de manière sérieuse et intensive. 
6. Flemme de trier les objets devenus inutiles. Vous n’avez pas le courage de vous attaquer au rangement de vos multiples armoires débordantes d’affaires? Le secret, comme pour tout projet de grande envergure, c’est de procéder petit bout par petit bout. Ne vous dites pas: « Il faudrait que je fasse un grand tri dans toute la maison ». Dites-vous: « Aujourd’hui, je passe en revue mon tiroir à sous-vêtements/les placards du haut de la cuisine/l’étagère de la bibliothèque consacrée aux polars ». Ou réglez un réveil sur 15 minutes, et contentez-vous d’évacuer tout ce que vous pouvez dans ce court laps de temps. Ou prenez un sac poubelle et décidez que vous ne le fermerez qu’après y avoir fourré 12 objets (n’importe lesquels) qui doivent disparaître. Répétez régulièrement l’opération.
7. Partenaire ou enfants qui veulent tout garder. Vous pouvez éventuellement négocier avec vos enfants (selon des méthodes que je serais bien en peine de vous conseiller, n’ayant aucune expérience en matière d’éducation). Pour votre conjoint, je suppose qu’il s’agit d’un adulte doué d’une volonté propre. Donc… il fera ce qu’il voudra, et uniquement ce qu’il voudra. La seule chose que vous pouvez faire, c’est l’inspirer par votre exemple. Et si ça ne marche pas? Ca ne vous empêche pas de contrôler votre bazar à vous, ainsi que de limiter le bazar commun. 
Quelles sont VOS raisons d’accumuler des choses? Placez-vous dans la peau d’un observateur impartial: quels arguments pourriez-vous utiliser pour « démonter » les raisons en question? 

21 réflexions sur “CHALLENGE MINIMALISTE #1: Demandez-vous… pourquoi vous accumulez les choses”

  1. Cécile de Brest

    Je pense que je suis plutôt dans la première catégorie même si je me suis beaucoup calmée depuis 6 mois, par la force des choses (on a acheté une maison, faut bien rembourser, il y a des priorités !).
    Mais même en n'ayant rien acheté depuis tout ce temps, je me rends compte que depuis septembre que j'ai repris le boulot, je n'ai pas porté 2 fois la même tenue et j'ai encore moyen de le faire pendant un moment.
    C'est donc que j'ai trop de trucs. Il va falloir que je m'en débarrasse mais je n'ai pas trouvé la solution idéale (j'ai testé le dépôt-vente, ça me gonfle, pour être polie).

  2. Avant, j'avais peur du vide. Mais vraiment. Une pièce peu remplie, que ce soit en meubles ou en objets de décoration, m'angoissait profondément. Alors je remplissais : bibelots sur les meubles, étagères pleines de DVD et de livres, coussins… Aujourd'hui, j'en suis guérie, je pense. Le style épuré n'est toujours pas pour moi, mais un espace vide au sein d'une bibliothèque, je trouve ça reposant et esthétique par exemple. Et je ne parle même pas du ménage qui me gonfle à un point pas possible, si bien que j'ai viré des bibelots pour avoir moins de choses à épousseter. Le bon sens l'a emporté sur une angoisse irraisonnée, mais j'ai vraiment découvert aussi cette notion de l'espace vide (ou libéré) qui repose l'esprit. Clairement, les choses que l'on accumule n'encombrent pas seulement notre intérieur, ils encombrent aussi notre esprit.

  3. J'adore ces articles, ça me donne toujours de bonnes idées ! Je crois que j'oscille entre deux tandances. l'accumulation: fringues (j'achète des merveilles sur ebay ou dans les vide-greniers donc je ne culpabilise pas, ou peu, et je suis même en général euphorique quand je déniche mes trouvailles…sauf que mon placard et mes tiroirs débordent, et ne parlons pas de ceux de mes filles…), livres (pareil, toujours d'occase, mais je me retrouve avec des dizaines de bouquins pas lus, alors que je vais aussi régulièrement à la médiathèque…une véritable addiction), et dans une moindre mesure, babioles en tous genres type papeterie, bijoux fantaisie ou home-made (que je porte finalement assez rarement tellement c'est le fouillis). Et par périodes une grande poussée de nettoyage par le vide, où je trie, remplis des sacs à donner aux amis(j'ai fait deux vide-greniers, plus jamais ça : j'ai gagné un peu de sous mais j'ai perdu une bonne partie de mon précieux temps de week-end et j'ai eu des envies de meurtre), où je jette… Je me sens très bien ensuite…et je recommence à accumuler insidieusement ! C'est surtout sur le "1 qui rentre,1 qui sort" que je devrais travailler je pense .

  4. Je suis (enfin j'étais) dans la tendance shopping compulsif avec toujours l'espoir que ce nouveau sac, pull, écharpe allait révolutionner mon style et faire apparaître le vrai moi (tendance Becky Bloomwood en plus fauchée). Et je cumule avec une grosse flemme de trier, même si je m'oblige régulièrement à le faire. Je suis la fille de deux "peur de manquer" et "ça peut toujours servir" (qui n'aurait pas besoin d'un tambour de machine à laver ou d'un morceau de câble électrique?) et j'ai toutes les peines du monde chaque fois que je vais chez ma mère à éviter qu'elle ne me donne des bricoles, le tout enveloppé dans 1 carton et 10 sacs plastiques.

  5. Coucou!

    Déjà je voudrai te dire que j'adore l'idée de ce challenge! Ça me parle énormément. Parfois je suis dépassée par le bordel qui envahi mon bureau/ma salle de bain/mes placards/mon salon.

    Mes raisons à moi: ça peut toujours servir et la flemme de trier.

    J'ai réussi l'exploit de trier jeter un ou deux sacs de brols il y a un mois ou deux.J'ai hâte de recommencer. Ma motivation, hormis de faire de mon espace quelque chose de plus agréable, c'est que ça fera moins de choses à déménager la prochaine fois et en attendant plus de place dans les placards pour ranger les choses essentielles.

  6. Il va falloir que je fasse du tri dans mes affaires dans les semaines à venir, pour cause de déménagement, et tes conseils arrivent à point nommé. Je me suis un peu calmée sur les achats (et encore…) mais quand je vois mon placard qui déborde et moi qui porte toujours la même chose, je me dis qu'il y a vraiment un gros tri à faire, même si j'en fais déjà régulièrement !

    En tout cas j'ai envie de nettoyage par le vide en ce moment, il est temps de m'y mettre, petit bout par petit bout 🙂

  7. Mamzelle Bulle

    Merci pour cet article, dans lequel je me retrouve (d'ailleurs un peu trop :s). Pour ma part, j'ai peur de manquer, je pense tjs que ça peut servir au cas où et j'ai également de multiples activités pour lesquelles je multiplie les équipements… Une page est en train de se tourner dans ma vie, un tri s'impose et je vais essayer de penser à tes conseils 🙂

  8. Ma raison d'accumuler les choses n'apparaît pas ici, parce qu'en fait, même si mon côté archiviste est développé, je pratique déjà beaucoup la désaccumulation. J'ai besoin de me demander régulièrement si j'ai besoin de tout ce qui est dans mon environnement et j'applique les conseils du point 6 tout au long de l'année et depuis longtemps. Le shopping compulsif s'est calmé de lui-même (il est apparu chez moi avec mes premiers salaires comparés à la frustration de mon enfance et l'idée qu'un nouveau vêtement (tjrs un autre et un de plus) me fera enfin me sentir bien dans mon corps).
    Par contre, l'endroit où je n'arrive pas à désaccumuler est la garde-robe. Malgré les trocs où je me sépare de plus que ce que je ne ramène chez moi, et la fin du shopping compulsif. J'ai plusieurs versions de moi-même dans ma garde robe, ayant un poids qui a yoyoté. Et je n'arrive pas à les affronter et à me séparer de vêtements que j'ai adoré et que je ne peux plus mettre. Alors que je ne porte que 20% de ma garde-robe et que malgré ma légère tendance à l'ordre très carré, c'est le seul endroit de mon chez moi qui n'est jamais rangé (rien de plié, rien d'accessible) et ça me pèse de voir ce meuble constamment vomir son contenu sur le sol 🙂
    Rapport au point 7, il faut que je fasse lire le point 4 à l'homme qui partage ma vie. J'essaye depuis longtemps de lui faire comprendre qu'une dévédéthèque idéale implique une sélection voire même un nombre défini de dvd, pour que chacun d'eux soit élu parmi tous les autres. Son accumulation m'angoisse, mais, comme tu dis, il a une *foutue* volonté propre 🙂

  9. La garde-robe, c'est vraiment un endroit sensible qui cristallise beaucoup de choses. Comme disait quelqu'un d'autre précédemment, moi aussi, si j'achetais beaucoup de vêtements à une période, c'était en quête de la fringue miracle qui me ferait paraître 10 kilos de moins… jusqu'au jour où j'ai compris que c'était une quête illusoire et qu'il serait quand même meilleur pour ma santé ET pour mon portefeuille de perdre les kilos en question. Ce que je ne suis pas encore arrivée à faire pour diverses raisons. Et du coup, c'est vrai, je suis coincée entre garder des fringues que j'adore, mais dans lesquelles je ne rentrerai probablement plus jamais, et m'en débarrasser pour m'alléger l'esprit et le placard – mais ça reviendrait aussi à renoncer à l'idée d'un moi un peu plus mince, ce qui est difficile.

  10. Mon excuse : le 7. Mais un peu le 1, le 2 et le 5 aussi! En plus, je suis sentimentale : j'ai tendance à garder ce qu'on m'offre, ce qui est rattaché à un souvenir..
    Mais j'aimerais posséder moins. Alors au boulot!

  11. J'aborderai la question des souvenirs, et je donnerai un petit "truc" pour gérer le fait de s'en débarrasser 🙂

  12. Je pars mal avec un 2-3-6-7… mais là, il faut vraiment faire quelque chose, alors le 6 va faire partie du passé !
    C'est vraiment ancré dans mon éducation (parents+grands-parents) de ne rien jeter, on ne sait jamais, c'est du gâchis, et associé à une grande tolérance au bordel, c'est assez néfaste sur le long terme !

  13. Un bon gros 2 et un 5 pour moi 🙂 Je ne m'en étais pas vraiment rendue compte jusqu'à maintenant mais lors de mon retour d'Irlande, j'ai vraiment eu beaucoup de mal à trouver de la place pour ranger toutes mes affaires dans ma chambre… Armoire pleine, bureau plein, et ne parlons pas de la bibliothèque, une vraie catastrophe, sans compter les autres espaces de la maison occupés par mon bordel d'équitation/escrime/loisirs créatifs.

    Et oui, je ne suis pas vraiment une shopaholic niveau fringues, mais je résiste rarement à un bouquin, un nouveau jeu de société, un bijou, un cahier … et je jette très rarement parce que bien sûr "ça peut toujours servir". Si l'on ajoute à ça mes loisirs qui nécessitent pas mal de matériel, je ne suis pas vraiment aidée !

    Ce chalenge minimaliste tombe donc vraiment à pic pour moi, d'autant qu'avec un déménagement à l'horizon, je n'ai plus trop le choix 😉

  14. Personnellement, je pense qu'il doit y avoir un peu de frénésie du shopping. Pourtant, il ne m'arrive que très, très rarement de regretter un achat, donc de ce côté-là, ça va.
    Mon souci est qu'au moment de faire le tri, justement, j'ai beaucoup plus de mal à le faire parce que souvent, je porte encore tout, et je me sers de tout. Mais il est clair, à voir la vitesse à laquelle ma chambre se met en désordre, qu'il y a trop !

  15. Je me reconnais A MORT dans le 1 et le 2! sauf que moi,je fais rarement d'erreurs d'achat et,bien que je culpabilise,voire me rends malade après une grosse dépense mode,en général je porte vraiment ce que j'achète et j'y prends du plaisir,c'est déjà ça.

    Je me suis quand même beaucoup calmée!
    Mon truc: je me fais un dossier "wish-list" par saison (A/H,P/E) avec photos,prix et en essayant de la réduire au max.
    Ensuite,je crée un autre dossier "Butin" et j'y mets les photos de ce que j'ai acheté.
    Ainsi,je me rends bien compte et j'essaye de voir ça comme quelque chose de précieux donc à ne pas banaliser.

  16. Aline - Inspiré et Créé

    Etant une créatrice, je garde beaucoup d'objets divers juste au cas où genre des morceaux de rubans… et même un bouchon de champagne xD (oui, je peux créer avec tout et n'importe quoi)!
    En ce moment, je troque les cosmétiques inutilisés et des vêtement sur des sites spécialisés mais il y en a que peu qui partent…

  17. 1, 5, 6…principalement, mais bon un peu de tout …

    Principalement habillement. J'aime plusieurs genres et je n'arrive pas à cibler, je me disperse, je craque par frustrations diverses et je fais des mauvais achats.
    Finalement pour toujours mettre les mêmes choses, qui me vont bien, assez faciles, etc.
    Suite à des problèmes de santé et burnout j'ai pris beaucoup de poids (40kg), reperdu 24, et je garde tout de ce qui était avant. Je ne reperdrai pas tout, ménopause aidant, le corps change. Je vise d'en perdre encore 15 au moins et d'avoir une garderobe intelligente, voilà. Mes moyens ont diminué aussi car je ne peux plus travailler à plein temps. Mon corps trop mou et gros ne peut plus porter ce que je portais avant, donc la priorité serait de foncer plus niveau sport et amaigrissement au lieu de "l'emballer" en attendant.
    Pas mal d'achats de passions momentanées aussi, hobbies.
    Pour les livres (j'aurais du compter combien j'en ai eu dans ma vie, je regrette), je suis devenue sévère et heureuse de l'être, j'achète peu, en 2ème main ou virtuel et je revends beaucoup.Mais c'est moins lié à l'affectif et à la compensation des frustrations diverses. 😉

    Tina

  18. Hum… Après une période en "1" (du temps où non seulement j'avais un salaire pour moi toute seule mais où j'étais nourrie et logée par mes parents…), surtout au niveau des livres, je suis passée en période 2-3 en raiison de graves difficultés financières – je me suis mise à récupérer tout ce qui était utilisable de peur de manquer… Situation aggravée par les éléments 6 et 7.

    Bon, j'ai fini par me rendre compte que non seulement ça n'arrangeait rien, mais qu'en plus ça m'étouffait.
    J'ai fini par me guérir (enfin, j'espère) du 2-3, mais il reste pas mal de boulot pour le 6 … et le 7 !

    (Le 1 s'est guéri tout seul par la force des choses… et grâce à l'existence des bibliothèques ! Mais je ne jurerais pas que je ne retomberais pas dedans si je gagnais au loto demain, hein… )

    J'ai commencé ce mois-ci le grand tri, en commençant par les tonnes de vêtements d'enfants qui encombrent ma cave. A chaque carton qui part, j'ai l'impression de respirer un peu mieux. Mais il va me falloir quelques encouragements supplémentaires pour m'attaquer à la maison elle-même… Savoir que d'autre souffrent en même temps que moi, peut-être ! ^^

  19. Moi j'ai du mal à me débarrasser de ce qui a une valeur sentimentale : les dessins des enfants, leurs cahiers d'école, un vieux carnets de recettes d'un autre temps, etc.
    Je ne sais pas trop dans quelle catégorie ça me place. En tout cas je suis capable de faire du tri régulièrement , je ne suis pas compulsive, j'ai donné 4 caisses de bouquins qui on trouvé preneur pour la brocante des livres au lycée de ma fille ( une pierre 2 coups, de la place pour moi et des sous pour les activités des élèves) .
    Je n'ai pas d'actiivté envahissante, chaque appareil de cuisine me sert très régulièrement, les autres ont été donné.
    Serait-ce un point 8 ?

  20. Merci pour ce challenge. Tout ne me parle pas (pas spécialement d'accumulation, mais beaucoup de regrets… INUTILES, je sais bien) mais tu écris si bien que je vais attendre la suite pour voir si je le suis.
    Mmh, maintenant que j'y pense, j'ai pas mal dépensé en produits qui me faisaient envie, petite. Ma cousine dont tout le monde faisait l'éloge adorait la marque agnès b. Dès que j'ai eu mes premiers salaires, j'ai acheté du maquillage chez eux, sans même savoir m'en servir ^^;;

  21. C'est chouette que tu proposes ce challenge, je cherchais récemment sur ton blog des articles sur le minimalisme !
    Je me situe dans une catégorie qui a été évoqué dans les commentaires précédents : je garde pour des raisons sentimentales des choses totalement inutiles, mes cours d'étudiante, des cartes postales, plein de papiers et de listes qui m'évoquent une période ou une autre de ma vie… mais qui ne me servent à rien et m'encombrent !

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