J’ai profité de mon temps libre ce week-end pour avancer dans l’atelier en ligne « 52 weeks of art journaling » en réalisant deux pages.

Pour celle-ci, la consigne était de faire simple si on avait l’habitude de faire compliqué, et inversément. Il se trouve que j’alterne les deux; donc, j’avais l’embarras du choix. J’ai opté pour une page un peu « chargée » évoquant le printemps qui commence, avec des couleurs vitaminées: vert rehaussé d’orange, ainsi que de quelques pointes de rouge et de jaune. J’aurais bien utilisé un Instax au lieu d’imprimer un Instagram de mes sandales neuves, mais c’est le dernier élément que j’ai ajouté et il ne me restait plus que très peu de place!

Ici, il s’agissait d’utiliser des ton neutres. Première difficulté: comme ce n’est pas « moi » du tout, je n’avais pratiquement pas de fournitures de ce type. Deuxième difficulté: comme ce n’est pas « moi » du tout, je n’avais rien à dire… Rien sur moi, du moins. Parce qu’il y a quelqu’un à qui je pense beaucoup en ce moment, quelqu’un qui traverse une épreuve difficile et totalement injuste. Du coup, des tons neutres semblaient appropriés pour évoquer mon souhait qu’il s’en sorte.
Jusqu’ici, j’ai procédé dans l’ordre des « leçons » et de manière systématique. Mais en jetant un coup d’oeil au programme dans son ensemble, je me suis aperçue qu’il y avait des consignes que je ne suivrais jamais: une page en liège ou en balsa, par exemple, beurk! Et tous les trucs à base de paillettes – horreur. Du coup, je me suis donné la permission d’en ignorer jusqu’à un tiers. J’aurai de toute façon déjà du mal à faire tenir 36 pages dans mon carnet, et si je veux bien sortir de ma zone de confort pour apprendre, je n’ai pas non plus envie de me forcer à faire quelque chose que je déteste.
il est magnifique!
que tes souhaits soient exaucés!
et je me joins à toi…
Laurent
Moi aussi je veux très très fort que tes vœux se réalisent …