« Notes 4: Songe est mensonge »

Malgré le buzz qui entoure son blog depuis pas mal de temps déjà, j’ai attendu de rencontrer Boulet à une soirée organisée par Editeur Préféré pour m’intéresser enfin à son travail. La lecture du tome 3 de ses Notes, « La viande, c’est la force », m’a conquise quasi instantanément. Je n’y peux rien: l’humour de geek est une des rares choses au monde capable de me faire hurler de rire.

Malgré tout, j’avoue que je n’ai pas accroché au fil directeur de ce tome 4. Comme Boulet le dit lui-même, les rêves des autres, c’est toujours chiant – et les bédés sur les rêves des autres, pareil. J’ai tout de même été frappée par la justesse de cette constatation qu’il fait au début et sur laquelle il revient plusieurs fois par la suite: l’imagination n’est pas, ainsi qu’on le raconte trop souvent, l’apanage des enfants mais bien celui des adultes.

Pour le reste, c’est toujours aussi bien dessiné et toujours aussi drôle. Je suis parfois effrayée de me reconnaître à ce point dans le comportement, les goûts et et les travers d’un type mal rasé, de surcroît plus jeune que moi et indécrottablement célibataire. Mention spéciale à l’Interview des pages 42 à 44, à la Fiscal Fantasy des pages 122-123 qui tombe à point nommée en cette période de déclaration de revenus, et à la Fin du Monde des pages 150-151, définitivement mes trois histoires préférées.

3 réflexions sur “« Notes 4: Songe est mensonge »”

  1. c'est marrant parce que j'aime beaucoup boulet,
    j'ai les 4 notes
    mais je n'ai pas accroché à "la viande c'est la force" et je suis conquise par ce dernier tome par contre…

    comme quoi les goûts et les couleurs…

  2. J'aime beaucoup Boulet mais je ne connaissait pas "Les notes", je vais essayer de m'en procurer un des 4 pour me faire une idée 😉

  3. ben c'est une compile des meilleurs posts de son blog, avec des inédits en plus, donc si tu aimes le blog tu devrais aimer (mais tu risques d'avoir déjà lu une partie)

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