
D’Aude Picault, j’avais déjà lu et aimé les deux tomes de « Moi, je ». Cette fois, lassée de se regarder le nombril et de mener à Paris une vie qui lui semble dépourvue de sens comme de direction, la jeune illustratrice décide de s’embarquer pour une traversée de l’Atlantique à bord d’un voilier dont elle connaît vaguement le capitaine. Dans « Transat », elle partage avec nous les questions qu’elle se pose, la façon dont elle vit cette échappée belle, son émerveillement muet face à la grandeur de l’océan… et, au final, son retour à la ville et à son train-train. Elle nous raconte un voyage inoubliable qui, sans infléchir le cours de son existence, l’aura sans doute marquée de façon assez subtile pour qu’elle apprécie son quotidien un peu différemment. Son « Transat » est une jolie bouffée d’air pur dont il serait vraiment dommage de se priver.
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Je l'ai lu ce week-end. Génial 🙂