
J’ai aimé:
– Le cadre, qui possède le même côté médiéval que le Cercueil mais pas son aspect oppressant (entendez: on arrive à y voir à plus d’un mètre).
– Les serveurs hyper aimables et souriants (une rareté à Paris).
– La salade roquette/tomates séchées/pignons de pin dont j’ai repris deux fois et que je referai chez moi à la première occasion.
– Le Shropshire, étrange fromage anglais qui ressemble à de la fourme d’Ambert, mais avec du orange gouda à la place du blanc crémeux. De-licious.
– Le fait que les fumeurs se cantonnent à la salle du bas et qu’il soit toujours possible de respirer dans celle du haut passé minuit.
– Le sympathique discours d’un des deux fondateurs qui se terminait par « merci d’être nos collaborateurs, mais avant tout, merci d’être nos amis ». C’est bô ce que tu dis, Stéphane.
– La petite surprise qui avait été préparée pour Fiona McIntosh dont c’était l’anniversaire: une attention qui l’a visiblement beaucoup touchée.
– En fin de soirée, quand je suis repartie, Bones, son attachée de presse et Boulet, tous trois fin soûls (enfin, je suppose, sinon ils n’ont aucune excuse!), se faisaient un karaoké années 80 sans musique dans la salle fumeurs. Je n’avais malheureusement pas assez bu pour leur infliger la punition de me joindre à eux.
– Le petit bout de retour en métro avec Mélanie.
J’ai adoré:
– Les gens. Et je le dis sans la moindre trace d’ironie. J’ai discuté successivement et longuement avec Philippe & Philippe d’Arkham (plus la charmante épouse du second), Bones, Claire-version-blonde, et surtout le club des moins d’1m60: Mélanie Fazi, Isabelle V. et Gudule. Cette dernière a été mon coup de foudre de la soirée. Je ne connaissais d’elle que ses bouquins pleins de fantaisie; j’ai découvert une personne adorable qui m’a juste un tout petit peu donné envie de me pendre en révélant qu’elle pondait environ 25 romans par an et se levait tous les matins à 4h pour écrire. Toujours du côté des auteurs, Fiona McIntosh et Peter Hamilton – rayures horizontales pour l’une et verticales pour l’autre – ainsi que Boulet aka Gilles Roussel se sont gentiment prêtés au jeu des groupie shots avec Régis. Je n’ai pas osé aborder Jack Ketchum qui est sûrement très gentil mais dont les bouquins me font peur. Idiot, je sais.
Je n’ai pas aimé:
– Salon du Livre oblige, tout le monde était un peu sur les rotules et obligé de se lever tôt le lendemain, donc la soirée s’est terminée aux alentours de 1h alors que pour ma part, j’aurais bien continué comme ça toute la nuit.
Edit: Mélanie vient de publier une photo géniale de Régis dans son blog.
Effectivement, tu aurais vu ton expression quand Gudule parlait de ses 25 romans par an… 😉
Je m’en doute… Je crois que j’ai encore un peu de poussière sous le menton à l’endroit où ma mâchoire inférieure a traîné par terre pendant un bon quart d’heure.
mode[hystérique]ON
JE KIFFE GRAVE BOULET (enfin ses dessins, quoi.)
mode[hystérique]OFF
Et bien il a fait une photo très sympa avec ton filleul!
Pour Ketchum je te comprends, moi non plus je n’ai pas osé lui parler à l’inauguration et en plus j’ai même pas osé lire ses livres ^^