– Le discours d’investiture de Barack Obama. Surtout pour cette phrase (je cite de mémoire): « Les gens ne seront pas jugés sur ce qu’ils détruisent, mais sur ce qu’ils construisent ». Et pour ce rappel qu’il y a soixante ans, son père n’aurait même pas eu le droit de se faire servir dans un restaurant.
– La merveilleuse étole en pashmina rose pâle repérée au Tie Rack de Zaventem. Et raisonnablement laissée sur place à cause de son prix (99 euros non soldée). Mais depuis, j’en rêve la nuit. Et dans les avions quand la clim me fait grelotter. Et chez les gens qui maintiennent une vivifiante température de 12° dans leur appartement.
– L’huile démaquillante au thé vert Shu Uemura. D’accord, à 37,60 euros les 150 ml, ça coûte presque plus cher au litre qu’un Haut-Brion 65 et ça a nettement moins bon goût (bien que j’adore l’odeur de l’un comme de l’autre). Mais ça mérite largement sa réputation de produit miracle. Il en faut très peu; ça désincruste en douceur même le plus tenace des mascaras waterproof; et au contact de l’eau tiède, ça se change en un lait merveilleux qui s’enlève super facilement, laissant la peau hyper nette et pas du tout grasse. Ah ils sont forts, ces Japonais.
– Les retrouvailles avec Framboise, grâce à Facebook. C’est moi qui avais pris de la distance pour des raisons liées à son ex. Mais depuis quelques mois, elle est de nouveau célibataire, plus jolie et pêchue que jamais. Ravie de notre déjeuner de filles, j’espère bien la revoir très souvent.