
Je n’avais pas spécialement l’intention de faire une grande promenade ou de me mettre à bronzer sur mon balcon une fois mon travail terminé, mais quand même… Je me retrouve un poil à court d’activités pour la fin de journée. Je n’ose pas m’exposer au déluge assez longtemps pour me traîner jusqu’à l’arrêt du bus qui me conduirait au centre commercial voisin. La lumière naturelle est trop faible pour que je poursuive l’archivage photo de mes vieux albums de scrap, ou que je shoote mes Blythe avec leurs nouvelles tenues.
Oh, et je n’ai plus de lumière électrique dans mon bureau. J’ai d’abord cru que mon ampoule à économie d’énergie avait grillé, et je pestais solidement vu qu’elle était censée tenir dix ans. Mais en la remplaçant par une ampoule ordinaire, je n’ai obtenu qu’un clignotement faiblard avant extinction. Le problème doit venir de la douille, et ce n’est pas comme si j’en avais une de rechange à la maison – ou comme si je savais la changer sans m’électrocuter. Règne donc en ce moment dans mon bureau une atmosphère moyennageuse à souhait. Je crois qu’il ne me reste plus qu’à me réfugier sur mon divan avec un chocolat chaud, quelques madeleines longues achetées à prix d’or au Huit à Huit et le dernier livre d’Ali Edwards reçu ce matin.
Oui, mais contrairement à Bruxelles, demain il fera beau…
Espérons… Réponse sur le coup des 9h30 quand je me réveillerai.
Merde…
Raté.
Ah ben non, chez moi ça va… L’orage a continué toute la nuit mais là il ne pleut plus, je vais pouvoir faire mes courses!