Si j’étais du genre à me (re)marier, le risotto aux pleurottes que Hawk m’a préparé hier soir m’aurait incitée à mettre un genou à terre et à lui poser la question. Ouais, c’était bon à ce point.
4 réflexions sur “On ne mange pas que des frites en Belgique (et heureusement)”
Les commentaires sont fermés.
Dis-moi, si tu devais définir un ordre de préférence de tes affinités, comment classerais-tu : le cul, la bonne bouffe, l’émotif, le sentimental, l’intellect et … le reste que tu vois par ailleurs:-)
C’est quoi la différence entre l’émotif et le sentimental, et entre le cul et le « reste que je vois par ailleurs »?
Ex abrupto: inventaire et classements des affinités, et ces dernières sont laissées à ta libre appréciation. D’ac?:-)
Bah je peux pas établir de classement… Y’a des périodes où j’ai plus besoin de l’un ou de l’autre, comme tout le monde je présume. Mais idéalement, je veux tout, le plus possible et en même temps (sauf la bonne bouffe sur laquelle il va vraiment falloir freiner avant l’été).