Une blonde dans un parking

Le parking de mon centre commercial est muni d’une voie de circulation périphérique à sens unique, un peu comme un manège. On entre obligatoirement à un bout et on sort obligatoirement à l’autre.
Cet après-midi, quelqu’un a eu la bonne idée de me pousser à aller à la gym malgré ma flemme (je suis pas une balance, mais ça commence par « Ha » et ça finit par « wk »). Sauf que c’était un samedi et le dernier week-end des soldes; donc le centre commercial était blindé de monde presque pire qu’un 24 décembre. Résultat: quand il s’est agi de repartir, j’ai mis une demi-heure à faire cent mètres en direction de la sortie.
La patience n’est pas mon fort, et je commençais à avoir des crampes dans le pied de l’embrayage (vive PYP et sa boîte auto). Soudain, il m’est venu une idée de génie: emprunter le petit chemin qui passe derrière Printemps et longe l’autoroute jusqu’à mon bled, 5 km plus loin. Personne ne l’utilise jamais, et ça permet de squeezer le monstrueux rond-point où ça bouchonne même en semaine pendant les horaires de travail.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je tourne à gauche vers Printemps.
Une allée trop tôt.
Et me retrouve au tout début du parking.

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3 réflexions sur “Une blonde dans un parking”

  1. J’aimerais bien savoir qui est ce Hans Dieter Von Burdiwk qui a eu l’idée saugrenue de t’envoyer à la salle de gym…

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