…J’avais même pas neuf ans quand j’ai écrit ça.
Sur un léger nuage de poussière étoilée
Apparaît Euphoria*, planète évoluée.
Dans ce bel univers un enfant de métal
Me fait découvrir ses sphères, ses spirales.
Tout est commandé, programmé, perfectionné
Pas d’erreur possible dans leurs énoncés.
Mais l’enfant, dans cette euphorie, s’ennuie.
Ses yeux ternes, fixes, ne reflètent ni bonheur ni joie.
« Moi, Elodie, ruisselet de la Terre,
Je t’offre l’oiseau bleu, son nid et tous ses oeufs.
Si vous comprenez sa raison d’exister
Vous, seulement les enfants, vous serez les plus gais. »
« Pour te remercier, je t’assure la paix.
La famine, la guerre, au revoir à jamais;
Seulement le bonheur et la joie d’être aimé. »
Ainsi naît en secret la plus belle amitié.
*Oui, j’étais fan de Goldorak.
Han. Je m’aperçois à l’instant qu’il y a quatre vers qui ne riment pas. C’est quoi ce bordel? J’ai bien fait de pas choisir poétesse comme carrière, tiens.
Si vous êtes sages, la semaine prochaine, je vous poste un poème sur les différentes façons dont j’envisageais de me suicider vers l’âge de seize ans et demi.
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Nous sommes indulgents 😉 Va en paix ^^
Nan mais toi tu comptes pour du beurre t’es forcément pas objectif hein ^^