Lundi 6: Coup d’interphone vers 9h30. Je ne suis qu’à moitié réveillée et Hawk est en train de me faire un truc assez intéressant. Je grogne « fuck » et ne me lève pas. Plus tard, je trouve dans ma boîte à lettres un avis de passage du facteur m’invitant à venir récupérer un Chrono dans mon bureau de poste habituel. Aujourd’hui, je n’en ai ni le temps ni l’envie. Je verrai plus tard dans la semaine.
Mardi 7: Pas envie de sortir.
Mercredi 8: Idem mardi 7.
Jeudi 9: Pas envie de travailler. J’en profite pour passer à la Poste où, comme raconté dans un message précédent, je vaque à diverses autres occupations et oublie totalement de récupérer le Chrono. Damned.
Vendredi 10: Je suis déjà sortie hier et je remets ça ce soir pour un resto. L’air du dehors, c’est comme toutes les bonnes choses, faut pas en abuser.
Samedi 11: Jour férié. Pas de regret: de toute façon, je me suis levée à midi.
Dimanche 12: Poste fermée.
Lundi 13: Idem mardi 7 et mercredi 8.
Mardi 14: Je déboule triomphante place de la Poste sur le coup de 15h30. Et me retrouve face à un magnifique rideau de fer sur lequel est scotchée une pauvre feuille de papier avec écrit au marqueur noir: « Fermeture exceptionnelle pour cause de grève le 14 novembre ».
Quand mon éditrice appellera pour savoir où j’en suis de la relecture des épreuves qu’elle m’a expédiées en urgence il y a près de deux semaines, je devrai donc invoquer comme excuse, au choix: la luxure, la blonditude ou la fainéantise (la mienne et celle des fonctionnaires). J’avoue que dans certaines circonstances, mentir devient une option assez tentante…
Mardi 7: Pas envie de sortir.
Mercredi 8: Idem mardi 7.
Jeudi 9: Pas envie de travailler. J’en profite pour passer à la Poste où, comme raconté dans un message précédent, je vaque à diverses autres occupations et oublie totalement de récupérer le Chrono. Damned.
Vendredi 10: Je suis déjà sortie hier et je remets ça ce soir pour un resto. L’air du dehors, c’est comme toutes les bonnes choses, faut pas en abuser.
Samedi 11: Jour férié. Pas de regret: de toute façon, je me suis levée à midi.
Dimanche 12: Poste fermée.
Lundi 13: Idem mardi 7 et mercredi 8.
Mardi 14: Je déboule triomphante place de la Poste sur le coup de 15h30. Et me retrouve face à un magnifique rideau de fer sur lequel est scotchée une pauvre feuille de papier avec écrit au marqueur noir: « Fermeture exceptionnelle pour cause de grève le 14 novembre ».
Quand mon éditrice appellera pour savoir où j’en suis de la relecture des épreuves qu’elle m’a expédiées en urgence il y a près de deux semaines, je devrai donc invoquer comme excuse, au choix: la luxure, la blonditude ou la fainéantise (la mienne et celle des fonctionnaires). J’avoue que dans certaines circonstances, mentir devient une option assez tentante…
Chère madame l’éditrice, je vous envoie ce mail anonyme pour vous suggérer de jeter un oeil sur cette page web
http://leroseetlenoir.blogspot.com/2006/11/chronopost-saga.html
qui devrait beaucoup vous intéresser. Ne me remerciez pas, c’est tout naturel
un ami qui vous veut du bien