Tout à l’heure j’envoie un texto à l’Homme (premier signe de vie que je lui donne depuis la découverte de sa scélératesse): « Prière de mettre une copie de la déclaration de revenus dans ma boîte à lettres quand tu l’auras reçue ». J’envoie. Dix secondes après, le téléphone sonne. « T’aurais pas oublié un truc, comme s’il te plaît ou merci? » me lance l’Homme d’entrée de jeu, sur son ton mi-rogue, mi-rigolard habituel.
Et là, lecteurs, lecteuses, j’ai été admirable de self-control. Au lieu de répondre qu’il était très, très mal placé pour exiger la moindre politesse de ma part, vu que…, et de lui démontrer par a+b à quel point son attitude était naze et lui un pauvre minable, je me suis contentée de répliquer, sur mon plus beau ton d’intello tête-à-claque: « Prière de, c’est synonyme de s’il te plaît, et merci, on le dit une fois que le service a été rendu. » Après ça, il s’est montré beaucoup plus aimable.
Et là, lecteurs, lecteuses, j’ai été admirable de self-control. Au lieu de répondre qu’il était très, très mal placé pour exiger la moindre politesse de ma part, vu que…, et de lui démontrer par a+b à quel point son attitude était naze et lui un pauvre minable, je me suis contentée de répliquer, sur mon plus beau ton d’intello tête-à-claque: « Prière de, c’est synonyme de s’il te plaît, et merci, on le dit une fois que le service a été rendu. » Après ça, il s’est montré beaucoup plus aimable.
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C’est bon comme réponse, ça, de but en blanc!…
C’est clair que tu baisses d’un ton après une réponse comme celle-ci!
Bravo !
C’est le genre de réplique qui me vient le lendemain (ou pas).