Une chaise longue posée sur un balcon. Un temps couvert, légèrement venteux et tiède juste comme il faut. Deux platanes aux feuilles bruissantes qui se balancent à trois mètres de votre nez. Des dizaines d’oiseaux qui s’appellent et se répondent en virevoltant dans le ciel. Les rires étouffés qui filtrent depuis les maisons du lotissement voisin, deux étages plus bas. Un nouveau bouquin dans l’histoire duquel vous vous retrouvez totalement (« Eat, pray, love » d’Elizabeth Gilbert). Un nouveau quelqu’un à qui penser avec un sourire idiot. Deux heures d’un après-midi de fin juin pour se laisser flotter en toute béatitude.
M’en faut pas beaucoup pour être heureuse.
M’en faut pas beaucoup pour être heureuse.
T’as bien de la chance…
T’en faut pas beaucoup… faut le dire vite :
« DEUX platanes aux feuilles bruissantes qui se balancent à TROIS mètres de votre nez. DES DIZAINES (on va dire 2-3) d’oiseaux qui s’appellent et se répondent en virvoltant dans le ciel. Les rires étouffés qui filtrent depuis les maisons du lotissement voisin, DEUX étages plus bas. Un nouveau bouquin dans l’histoire duquel vous vous retrouvez totalement (« Eat, pray, love » d’Elizabeth Gilbert). Un nouveau quelqu’un à qui penser avec un sourire idiot. DEUX heures d’un après-midi de fin juin pour se laisser flotter en toute béatitude.
M’en faut pas beaucoup pour être heureuse »… ça fait quand même dans les 30-40, tout ça !
désolée, je suis anonyme aujourd’hui 🙂
C’est gentil de passer me faire un coucou, poussin, mais tu devrais pas être en train de t’occuper de ta petite femme? Mmmmh?
grrrrr